Trans en Provence, il y a 25 ans.
5 octobre 2009
ufo-science : la galère continue
Le colloque de Brème, sur l'aérodynamique hypersonique, 19 - 21 octobre 2009
Le Geipan, l'immobilisme en marche, l'incompétence en action
Xavier Lafont vient de me signaler que quelqu'un avait récupéré l'enquête menée pour le compte de l'émission Temps X sur le site de Trans en Provence, en 1984, trois ans après l'événement. Il est amusant de revoir ces images.
L'auteur, avec quelques années de moins Avec le témoin, Renato Nicolaï
Le professeur Michel Bounias, en 1984 Premières expériences de contrôle d'ionisation par HF
Nous n'avions évidemment pas été prévenus de l'enquête sur le terrain au moment des événements. Le Gepan - Sepra - Geipan a toujours travaillé à bureaux fermés. Ce n'est qu'en 1984 que j'avais incité l'équipe de l'émission des Bogdanoff, Temps X, de réaliser un reportage sur les lieux. A l'époque les images de synthèse n'existaient pas. J'étais enseignant à l'Ecole des Beaux-Arts d'Aix, en sculpture. J'avais donc proposé qu'une tentative de reconstitution de l'objet soit faite, dans les ateliers de l'Ecole, dirigée à l'époque par mon vieil ami Jacques Boullier, alias Vasselin ( son nom d'artiste ). Ceci fut fait en quelques jours, dans l'urgence, sur la base de renseignements assez schématiques, transmis par téléphone. Toujours est-il que la veille de l'émission, vers 22 heures, l'équipe de tournage s'approcha au plus près de l'école pour charger l'objet. Mais, pour ceux qui connaissent les lieux, l'entrée est inaccessible pour un camion à plateau, loué pour la circonstance pour transporter la soucoupe, réalisée en contre-plaqué. Il fallut que nous la transportions dans les rue de la ville, en la portant à bras.
Je vous laisse imaginer la tête de quelques Aixois, croisés en chemin, me voyant, avec des élèves des Beaux-Arts, transporter à la nuit tombée cet " objet venu d'ailleurs ", de couleur argentée, dans les rues de la ville.
Le lendemain matin, ayant pu situer les lieux et connaître l'identité du témoin nous débarquâmes dans sa propriété avec l'équipe, le camion et la soucoupe, qui fut amenée sur le lieu exact de l'atterrissage, sur la " restanque " où Nicolas l'avait aperçu.
Sur la dernière photo une image d'une petite maquette de 7 cm de diamètre, lors d'essais effectués en basse pression, dans la cloche à vide installé à 9 de la rue Aude, à Aix, dans une chambre de bonne, alimentée par de la HF délivrée par une simple bobine de Rhumkorff. Des images que vous pourrez voir à nouveau, ainsi que bien d'autres, quand Julien Geffray aura fini de monter, seule et sans aide, le banc d'essai dans le garage de 18 mètres carrés, si à Fontenay, à 15 minutes à pied d'un terminal de métro.
Une galère nommée UFO-science
Le " laboratoire d'UFO-science ", à Fontenay, à 15 minutes à pied d'un terminal de métro
C'est uniquement à cause de l'insistance de Julien Geffray, webmaster de 30 ans, que cette entreprise complètement folle continue. S'il ne tenait pas cette histoire à bout de bras, travaillant durant ses week-ends et temps de loisirs (. ..) j'aurais fait mettre en ventre sur e-bay, aux enchères, les 5000 euros de matériels de MHD acquis en 2007-2008 pour monter ce banc d'essai. Ceux qui ont suivi la trajectoire de notre association UFO-science, créée en 2007, savent que celle-ci a traversé une crise majeure durant l'été 2008. Nous avions à l'époque reconstitué à mon domicile de Pertuis toute la technique d'analyse mise en oeuvre par le professeur Michel Bounias, à l'occasion de l'atterrissage d'ovni de Trans en Provence, en 1981. Technique basée sur la chromatographie sur couches minces.
Pour ce fait nous avons acquis 5000 euros de matériel, dont une balance précise au dixième de milligramme (1200 euros), une centrifugeuse ( 700 euros ) et un congélateur de laboratoire, permettant de conserver des échantillons à moins cinquante degrés, 2500 euros, ainsi que nombre d'accessoires et produits permettant de mener à bien cette entreprise. Ajouter à cela une " bourse " UFO-science de 4800 euros qui fut imprudemment versée à son bénéficiaire en une seule fois, en février 2008. En tout nous avons dépensé 10.000 euros pour savoir " que c'était simple et relativement bon marché ".
Mais à cette même époque nous avons préparé l'impression en mille exemplaires d'une livre " Les OVNIS et la science, les aventuriers de la recherche ", rédigé et illustré par moi, édité aux frais de l'association et vendu à son bénéfice exclusif.
Toujours à cette même époque, deux vidéos que nous avions réalisées, mon ami Denis Roussel et moi-même, à Bruxelles, et mis sur Dailymotion, avaient déjà été vue par des dizaines de milliers d'internautes. Voici ces deux vidéos qui, au moment où j'écris ces lignes, ont été vues respectivement par 65.800 et 49.000 internautes :
http://www.dailymotion.com/video/x5eye6_ufoscience_tech
http://www.dailymotion.com/video/x6pu2t_ufoscience-livre-jpp_tech
Proposé au prix de 20 euros, le livre en rapportait 15, par exemplaire vendu. Au moment où ce projet était sur le point de se concrétiser un certain nombre de membres de l'association, une demi-douzaine tout au plus, entrés en contact les uns avec les autres par l'intermédiaire du forum que nous avions créé, se sont complètement monté le bourrichon, s'imaginant que la vente " du livre " ( en fait de mon livre ) allait rapporter une véritable fortune. Le héros de cette aventure biologie se voyait déjà, quant à lui déjà... salarié de l'association. Nous savions que les ventes du livre n'auraient rien à voir avec ce chiffre des consultations des vidéos. Il est plus facile de cliquer sur un lien que de sortir de sa poche un billet de vingt euros.
En quelques semaines nous nous trouvâmes face à une fronde que nous n'aurions pas imaginé une seule seconde. Un quarteron d'imbéciles réclamait à cor et à cri la tenue d'une assemblée générale pour "déterminer démocratiquement comment seraient ventilées les sommes que rapporteraient le livre". Un livre dont j'avais fait cadeau à l'association, puisqu'il av ait été convenu que le bénéfice de sa vente irait à 100 % dans ses caisses.
Il fallut prendre des mesures rapides. Un premier tirage avait déjà été effectué, pour la somme de 2500 euros, où figuraient des noms des frondeurs, dont certains étaient ... juristes, et auraient pu démarcher par la suite pour exiger des droits. Il fallut, en août 2008, envoyer ces mille exemplaires, à peine secs, au pilon, réécrire le livre en modifiant son contenu, en collant sur certains personnages déplaisants des pseudonymes ( Messmaker signifie en anglais " fouteur de merde " ). Un nouveau tirage de mille exemplaires fut réalisé, pour la même somme et ces livres furent vendus, rapportant 15.000 euros nets. Mais je m'opposais à ce qu'un nouveau tirage soit effectué.
Beaucoup ont vécu les remous des associations loi de 1901, qui sont très souvent le siège de luttes de pouvoir imbéciles et où une part importante de l'énergie est dépensée pour " gérer les problèmes humains". Nous avons fait cette amère expérience, menées par des gens qui avaient payé vingt euros de cotisation et entendaient bien faire valoir leurs droits. Le résultat est qu'ils ont mis toute notre organisation sur les genoux en peu de semaines, durant l'été 2008. Depuis le début 2009 nous refusons tout envoi de cotisations, tous dons d'argent. Avec l'argent engrangé par la vente du livre, nous avons même remboursé certains donateurs qui avaient envoyé ... des milliers d'euros.
En septembre 2008, déjà mal en point côté santé, et sur fond de cette gabegie innommable, j'ai sauvé la mise en me rendant, appuyé sur des béquilles, à deux colloques internationaux, à Imperial College (Londres, Cosmologie) et à Vilnius (MHD, Lithuanie). Ces succès permirent de masquer, vis à vis du public et des 300 adhérents et donateurs la déconfiture complète de ce qui avaient été les activités de l'association en matière d'analyses biologiques, dans le courant de l'année 2008, en dépit d'un excellent travail effectué dans les tous premiers mois de cette année.
Aujourd'hui l'association survit au fil des activités de membres ... actifs, dont le nombre n'excède pas celui des doigts d'une main. Geffray rame pour finaliser, seul, le banc d'essai MHD. Jean-Christophe Doré parachève " UFOCATCH " une station automatique de tracking d'ovni, avec pointage automatique et prise de spectre, dans un ... coin de sa cuisine. Je continue de diffuser les bonnettes à réseau (sous forme de diapos), offertes aux acheteurs de mon livre. Elles sont également vendues par le truchement de l'association.
Dès que cela sera possible, nous reprendrons le projet consistant à faire fabriquer, en Chine, des bonnettes autocollantes susceptibles d'être une un geste rapide, adaptée sur l'objectif des téléphones portables, en les transformant en spectroscopes. Dès que nous aurons pu faire fabriquer, disons une série de mille pièces, tout en les diffusant, nous fournirons à qui voudra (par exemple à des associations ufologiques françaises ou situées dans des pays étrangers) les coordonnées du fabriquant chinois, pour accélérer la dispersion de ces accessoires, qui permettront ainsi, s'ils existent un jour en nombre suffisant de par le monde, d'obtenir, non pas de simple photos ou films, mais les premiers spectres d'ovnis, document contenant enfin une information scientifique exploitable (pendant que le Geipan continuera à collecter les témoignages recueillis par la maréchaussée).
Le Colloque de Brème sur l'aérodynamique hypersonique
http://www.aiaa.org/content.cfm?pageid=230&lumeetingid=2238
Il avait été prévu que nous présentions une communication au colloque international de Brème, Allemagne, en octobre 2009 (précisément le mercredi 21. Il s'agit d'un colloque sur les véhicules hypersoniques de l'avenir, organisé par l'AIAA (American Institute for Aeronautics and Astronautics). J'avais donc rédigé, cosigné par Julien Geffray, un papier de 25 pages, abondamment illustré et porteur de résultats expérimentaux récents et originaux. Entre temps ma situation de santé s'était sérieusement dégradée. Ceux qui suivent mon site savent que nous avons dû, ma femme et moi, quitter Bruxelles et ré-emménager dans ma maison de Pertuis où j'ai construit un bassin d'aquagym de quatre mètres cubes, à l'intérieur de la maison, maintenant complètement opérationnel, que j'utilise une à deux heures par jour. Coût : 6500 euros, fort heureusement couverts par la vente (opportune) de mon livre.
Question santé : c'est pas gagné. Trois rechute, à la suite d'efforts minimes (mettre une caisse de 15 kilos dans la malle de ma voiture, manoeuvrer un aspirateur, dégager une scie coincée dans un tronc). Je n'ai pas quitté mon domicile depuis juin ( quatre mois ).
- Capacité d'emport : un kilo
- Distance franchissable, à pied : 100 mètres
- En voiture : 2000 mètres
- Station debout prolongée : exclue
- Assise : limitée à deux heures consécutives.
Sinon, retour case départ immédiat.
L'expression " prompt rétablissement " reste un voeu pieux, une expression dénuée de signification. Si je sors de ce mauvais pas, cela prendra du temps, comme à l'époque de l'accident de travail d'octobre 1976, point de départ de ces ennuis de santé.
Il y a quelques jours Geffray me téléphone :
- Il y a un os : le secrétariat du colloque de Brème a bien reçu la communication. Mais le congrès n'accepte d'enregistrer que celles qui seront effectivement présentées en salle.
- Cela signifie que si je ne vais pas là-bas, on aura fait tout ce travail pour rien.
- C'est cela...
- Bon, eh bien puisque UFO-science a de l'argent, on va y aller tous les deux. A Paris, loue une chaise roulante pliante, qu'on puisse emmener dans l'avion en bagage accompagné. L'essentiel sera que je puisse présenter le travail le mercredi. Quant au reste, cela ne changera guère de Londres ou de Vilnius où j'avais déjà passé le plus clair de mon temps allongé dans ma chambre d'hôtel. Tu feras office d'infirmier. Si je ne peux pas manger avec les congressistes parce que ça tourne mal, tu n'auras qu'à m'apporter un plateau dans la chambre.
- OK, c'est toi qui décide.
Je fais cela pour éviter que tout ce travail ait été fait pour rien, mais ça ne sera pas une partie de plaisir. Je ne rééditerai pas une pareille chose.
Geipan, l'immobilisme en marche, l'incompétence en action
Sabine Hossenfelder a publié en août 2008 dans la revue Physical Review un premier article sur le " bimétrique " ( alias le " gémellaire " ). Rapidement interpellée par un collègue français (je n'ai pas que des ennemis, même si j'en ai beaucoup) à propos du fait qu'elle n'ait pas cité mes nombreux travaux dans le domaine, elle lui avait répondu que ceux-ci n'avaient qu'un rapport " très superficiel " avec les siens.
Sabine Hossenfelder : On a le même coiffeur ....
J'ai pu la contraindre, avec l'aide de collègues titrés, de mentionner ces travaux de cosmologie, antérieurs aux siens de quinze ans, dans un nouvel article intitulé " Antigravity ", auquel vous aurez accès avec ce lien. Cette idée du gémellaire - bimétrique fait son chemin, comme une dent qui pousse, et finira par s'imposer, sans qu'on sache très bien qui, le moment venu, portera la couronne. Ca prendra quand même du temps (mes premiers travaux datent de 1977). Mais les idées révolutionnaires mettent du temps à s'imposer et très souvent les pionniers décèdent avant que celles-ci ne réussissent à s'imposer dans l'arène scientifique.
Qui survivra, verra.
Dans l'actuel numéro de Science et Vie vous trouverez mention des travaux de deux bonshommes, Gabriel Chardin et de Luc Blanchet, qui prônent les vertus d'une matière repoussant la nôtre, qu'ils assimilent à cette arlésienne de la cosmologie : l'antimatière. Ceci les conduit à expliquer la structure lacunaire de l'univers, organisé autour de grands vides de cent millions d'années lumière de diamètre. Confers l'illustration de la page 57 de la revue :
A comparer avec les résultats des simulations numériques que j'ai publiées en 1995 dans Astrophysics and Space Science ( article cité par Sabine.Hossenfelder ) :
L'interprétation de la structure lacunaire, la matière étant repoussée par les masses négatives ( "alias matière gémellaire" )
Mes lecteurs me demandent ce que je pense des travaux de ces deux chercheurs. Le second appartient au même laboratoire qu'Alain Riazuelo, tête pensante de l'Institut d'Astyrophysique de Paris.
Alain r. ( dans Wikipedia )
Il existe une signification géométrique de l'antimatière. Je l'évoque dans ma bande dessinée " L'Univers Gémellaire ". Elle se décline sur le thème " dis-moi comment tu te meus, je te dirai quoi tu es ". Les particules dotées d'une charge électrique se déplacent, non pas dans un espace à quatre dimensions, mais dans un espace de Kaluza, à cinq dimensions ( ce qu'on appelle un fibré ). Le fait que cette cinquième dimension soit fermée sur elle-même implique que la charge qui lui est associée ( la charge électrique ) soit quantifiée, ne puisse prendre que des valeurs entières.
L'image didactique, assez grossière, est celle de l'enroulement de cette trajectoire selon un cylindre. Le sens d'enroulement de cette trajectoire sur cette trajectoire dépend du signe de la charge électrique. La transformation de la matière en antimatière ( au sens de Dirac ) correspond à l'inversion de la " coordonnée de Kaluza " ( du sens de l'enroulement de la trajectoire sur ce cylindre ). Le photon est identique à sa propre particule : toutes les " charges quantiques " sont nulles. On peut donc figurer sa trajectoire, dans l'espace de Kaluza, selon une génératrice du cylindre ( " du fibré en cercle" ).
Les auteurs de ce travail confonde antimatière et particules dotées d'une masse et d'une énergie négative. Ca n'a rien à voir. L'antimatière au sens de Dirac possède une masse et une énergie positives et l'expérience Aegis, prévue au Cerne en 2012, ne sera qu'une nouvelle perte de temps et d'argent. D'où le scepticisme de son responsable, Michael Doser :
Michael Doser, responsable de la manip Aegis au Cern
L'auteur de l'article va paru dans Science et Vie dans ce sens quand il évoque le comportement du photon qui, étant " à la fois matière et antimatière ", devrait se révéler insensible à un champ de gravité. Or c'est faux : puisque la gravitation provoque l'effet de lentille gravitationnelle. Donc la théorie des deux zèbres ne tient pas debout. Mais je crois que la cosmologie et eux, ça fait deux.
Voilà pour la chronique scientifique du moment. A part cela, nous en avons la confirmation, le nouveau responsable du Geipan, Yves Blanc, ne sera pas plus pétulant que Jacques Patenet, son prédécesseur. Tout y passe : des nuages lenticulaires aux lanternes thaïlandaises. Mais il reste le pire : le Geipan fait de la rétention d'information, non par mauvais vouloir. Par simple incompétence, indifférence. Blanc n'est là que pour suivre les consignes de la DG du Cnes :
Surtout pas de vagues
Le Geipan est en contact avec l'équipe italo-norvégienne qui concentre son intérêt sur la région d'Hessdalen.Il y a eu plusieurs histoires, impliquant des contacts rapprochés. Les Norvégiens ont été confrontés à un objets affectant la forme d'une sphère lumineuse, de la taille d'un ballon de football, à une distance de quelques dizaines de mètres. En le sollicitant à l'aide d'un pinceau lumineux, dont ils faisaient varier l'intensité, ils ont vu l'objet leur répondre en faisant fluctuer sa lumière en phase.
Expérience plus saisissante chez trois Italiens, un digne professeur, physicien, accompagné d'un collègue astrophysicien, et de la femme de celui-ci. Cette fois, un objet similaire est allé jusqu'à se frotter au cou du premier, de manière très familière, en ronronnant. L'astrophysicien ayant envisagé de toucher l'objet, son collègue, passablement traumatisé par son expérience, l'en a vivement dissuadé. Après l'avoir observé à une distance de quelques dizaines de mètres (l'objet s'était progressivement éloigné) et ils en ont fait des photos, sur fond de frondaison d'arbres, que j'ai vues : sans intérêt. Puis ils ont décidé courageusement, au bout de 20 minutes, de l'approcher avec leur véhicule, où ils avaient repris place. Quand le pare-choc a été presque au contact de la sphère, celle-ci s'est envolée vers le ciel à vive allure.
Nous tenons cette histoire d'une collaborateur du Geipan, et considérons son récit, récolté de première main auprès des témoins, comme fiable.
Alors, peut-on collaborer avec des gens qui font de la rétention d'information (et il n'y aurait pas que cette histoire-là), font n'importe quoi, rien, en particulier ? Entre le départ en retraite de Patenet, en décembre 2008 et la " prise de fonction d'Yves Blanc ", durant l'état 2009 : aucune manifestation perceptible d'une activité quelconque du Geipan, qui ait pu être détectée par les gens qui sont censés collaborer avec lui. Si ce n'est l'édition d'une plaquette en couleur, destinée au grand public, préparée par Patenet. Son testament, en quelque sorte.
A part cela la DST envoie ses agents se mêler aux " IPN ", aux " Intervenants de premier niveau ", bénévoles recrutés par le Geipan pour assister les gendarmes lors de leurs enquêtes, afin de mieux les contrôler. Nous avons pu savoir par l'un d'eux qu'en règle générale les pandores ne les avaient pratiquement jamais utilisée"s, ignorant comment s'en servir.
A suivre
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