Grippe A(H1N1) : le feuilleton
16 février 2010. L'épilogue
Sur le journal de 20 heures de TF1 : l'ouverture d'une commission d'enquête
http://videos.tf1.fr/jt-20h/l-oms-accusee-d-avoir-exagere-l-ampleur-de-la-grippe-a-5697985.html
30 janvier 2010
La pandémie grippale fait long feu :
Tout peut se lire sur une simple courbe, publiée semaine après semaine sur le très officiel site de l'observatoire de la grippe, en France :
Source : http://www.grog.org/cgi-files/db.cgi?action=bulletin_grog
Il y a trois courbes. En rouge, les données sur la grippe de l'hivers 2009 - 2010. Vous apprendrez au passage que la " grippe pandémique " H1N1 n'a représenté que 10 % des cas, en France. La courbe du dessus est celle des maximas, semaine après semaine, calculés sur les dix dernières années. La courbe inférieure est celle des minima, calculés sur la même période. On voit que la pandémie de 2009 - 2010 fait long feu et que les chiffres plongent même en dessous de la courbe des minima.
Ca n'empêche pas dame Bachelot d'envoyer à tous les Français une lettre les incitant à aller se faire vacciner et en donnant l'adresse du centre le plus proche de leur domicile.
Elle continue à nous prendre pour des cons. Mais soyez sans inquiétude, ce bock n'entachera en rien sa carrière politique ou son compte en banque.
J'arrête, parce que cette histoire m'énerve. Pas vous ?
4 - 7 janvier 2010
La connerie irresponsable de notre ministre de la santé éclate au grand jour :
Il n'est plus nécessaire de composer un article pour informer les gens. La campagne de vaccination française sombre dans le fiasco le plus complet. Il faut des hommes politiques comme Bernard Koutchner pour " s'indigner contre l'indignation ". Mais on sait depuis longtemps ce qu'il vaut et pour qui il roule. Les Français apprendront avec stupéfaction que notre pays détient de tiers du Tamiflu mondial et dix pour cent des stocks de vaccins contre le H1N1. Etat de fait qui est résultat d'une conjonction entre la stupidité, la complaisance et la corruption.
Le Monde donne le détail (ahurissant) des dépenses : une grippe à deux milliards d'euros :
Selon un rapport sénatorial sur le projet de financement de l'assurance-maladie en 2010, le coût total pourrait atteindre 2,2 milliard d'euros. En effet, au coût de l'achat de vaccin s'ajoute la campagne de vaccination d'un montant de 35,8 millions d'euros, l'acquisition de respirateurs pour 5,8 millions d'euros, l'achat d'antiviraux pour 20 millions d'euros, 150,6 millions d'euros de masques, 41,6 millions d'euros de dépenses logistiques, 290 millions afin d'indemniser les personnels de santé réquisitionnés, 59,6 millions destinés au frais d'information et à la campagne de communication. Il faut aussi compter 100 millions de "frais liés à l'organisation territoriale de la campagne de vaccination", selon ce rapport, et encore 375 à 752 millions d'euros de dépenses liées aux consultations de médecins, à la prescription de médicaments. |
Source : Yahoo actualités
Coût de l'achat de masques de protection, en France : 150 millions d'euros
Le déstockage des vaccins contre la grippe A(H1N1) critiquéLes critiques se multiplient contre le gouvernement français pour sa gestion de la campagne de vaccination contre la grippe A(H1N1). Lire la suite l'article Photos/Vidéos liéesLe Parti socialiste dénonce son "irresponsabilité", le MoDem une politique de revente des vaccins "choquante" et, au sein même de la majorité, le Nouveau Centre a réclamé lundi, à la suite du PS, une commission d'enquête parlementaire. Le gouvernement a entrepris de revendre une partie des 94 millions de doses de vaccin achetées au début de l'épidémie, alors qu'à peine cinq millions de Français se sont fait vacciner. La France avait décidé de constituer ce stock pour 869 millions d'euros en partant du schéma initial de deux injections par personne préconisé internationalement. Une seule dose est finalement apparue suffisante en novembre. "Ce gouvernement n'a pas écouté ceux qui savent, ce n'est pas la première fois, il y a un mépris pour le savoir, il y a une gestion par la peur", a estimé Vincent Peillon sur France 2. "En permanence, on veut faire peur aux Français, on crée la panique, c'est le contraire du principe de précaution", a ajouté le député européen socialiste, pour qui le gouvernement a "péché par irresponsabilité". Pour Benoît Hamon, porte-parole du PS, les laboratoires pharmaceutiques sont "les grands vainqueurs dans cette affaire". "Je trouve ça pour le moins curieux qu'on achète pour l'équivalent de 90 millions de doses de vaccin et qu'il en reste 70 millions, c'est-à-dire qu'à peu près deux tiers de ce qui avait été prévu n'a pas été utilisé", a-t-il déclaré sur Canal+. Benoît Hamon a jugé que le gouvernement menait à dessein une campagne "bien anxiogène pour essayer d'écouler les stocks". "UN PEU RIDICULE" Le député socialiste Jean-Marie Le Guen, spécialiste des questions de santé au PS, a réclamé dimanche la création d'une commission d'enquête parlementaire pour tirer les leçons de ce qu'il qualifie de "fiasco". "On a surcommuniqué, dramatisé et ça eu l'effet strictement inverse sur nos compatriotes qui se sont dit 'Qu'est-ce que c'est que ce bastringue, où on va...?'", a-t-il dit sur i>Télé. "On a un résultat qui est tout à fait à côté de la plaque". Le Nouveau Centre s'est à son tour prononcé pour une commission d'enquête parlementaire "sur la manière dont a été programmée, expliquée et gérée la campagne". "La France est en échec dans cette affaire, où on voit que notre pays fait partie de ceux qui ont le taux de vaccination le plus faible, malgré une débauche de moyens", déclare dans un communiqué Jean-Christophe Lagarde, président exécutif du mouvement allié de l'UMP. Le député-maire de Drancy juge toutefois "la polémique sur la vente des surplus de vaccins (...) comme anecdotique et purement politicienne". Le président du Mouvement Démocrate, François Bayrou, a souhaité que la France cède ses surplus aux pays pauvres "plutôt que de se livrer à cet exercice un peu ridicule" de déstockage. "Il y a quelque chose d'un peu choquant dans cette revente de vaccins", a-t-il jugé sur France Info. Après les vacances de fin d'année, pendant lesquelles le dispositif de vaccination a été allégé, le ministère de l'Intérieur a annoncé que la campagne allait être relancée. Pendant toute la semaine, les centres de vaccination ouvriront jusqu'à trois vacations par jour. La grippe A(H1N1) a provoqué 198 décès en France selon le dernier pointage de l'Institut national de veille sanitaire au 29 décembre. Sophie Louet, édité par Yves Clarisse |
Mais les Français n'ont pas marché, en dépit d'une campagne de vaccination très agressive. Il suffisait de suivre au jour le jour les chiffres (officiels) du développement des affections grippales en France, toutes souches confondues :
Source : http://www.grog.org/cgi-files/db.cgi?action=bulletin_grog
En rouge : l'évolution des incidences de la grippe en France ( Infections respiratoires aigües )
Derniers points ( courbe en rouge : fin décembre 2009 )Décompte hebdomadaire.
Les chiffres de cette année, après une croissance mi novembre (46° semaine de l'année ) jusqu'à une situation simplement médiane
marque un retour vers les chiffres ... minimaux (courbe bleue ) : On est très loin d'une situation alarmante ....
Autre source : euroflu.org montrant l'effondrement du nombre des cas de grippe en France :
En dépit de cette évidence, les préfets ont reçu une nouvelle lettre circulaire , en date du 12 décembre, destinée à accélerer le processus de vaccination massive :
Transmis par le Docteur Dutoit. Cliquer sur l'image pour lire ce pdf - complet foutage de gueule
Par simple curiosité, tapez " Bachelot assignée en référé " sur Google
L'absurdité de cette campagne de vaccination est devenue si évidente que même la grande presse ne suit plus. Les politiques ne s'alignent plus sur ce couplet alarmiste. Les experts auto-proclamés rentrent sous terre. Ce qui émerge de tout cela n'est pas seulement un fantastique gâchis, un de plus, dont le contribuable fera les frais. C'est aussi une réflexion sur l'information délivrée par " la Grande Presse ", qui ne peut plus maintenant, décemment, soutenir un tel mensonge.
Quel rôle ont joué ceux qui, sur le net, se sont battus contre le mensonge ambiant, ont été rechercher des informations techniques, ont fait, finalement, le travail que nos journalistes sont censés faire ?
A l'issue de tout cela, la confiance des citoyens envers leur classe politique continue de s'effondrer, de même que celle qu'il accordaient jusqu'ici à leurs médias. Plus que jamais :
Pensez par vous-même. Ne laissez pas d'autres le faire à votre place !
Faites marcher vos neurones, allez à la pêche aux informations, sur le net. Ne laissez pas ces " grands professionnels de l'info " vous servir leurs plats tous préparés, qui fleurent l'incompétence, l'absence de conscience professionnelle, voire la complicité active vis à vis de manoeuvres qui sont de simple, de banales escroqueries.
Un lecteur me signale cet article paru dans Agoravox, qui nous fait conclure que nouys sommes " gouvernés " par des fous furieux, des incapables, des inméciles, des rirresponsables :
On ne sait plus où donner de la plume. En effet, depuis des mois j'étais assailli d'informations décrivant les combats menés par les municipalités pour éviter de devenir des poubelles nucléaires. Je n'ai pas donné suite, me disant que je ne pouvais pas être sur tous les fronts, ni saturer mes lecteurs de mauvaises nouvelles.
Face à cette masses ingérable de déchêts, le gouvernement français a trouvé une ... solution originale.
Il faudra parler des besoins énergétiques de la planète. Voir ma conférence à l'X, sur la Z-machine, projet vite détourné vers des applications militaires (bombes à fusion pure). A mettre en parallèle avec cette aberration nommée ITER, dont je dis quelques mots à la fin de cet expoosé. Je pense avec agacement au ministre de l'environnement, Borlo, qui fait Paris Bruxelles en ... avion, à ce petit imbécile de Hulot, qui prône la taxe carbone en se déplaçant en hélicoptère. Je pense à des projets en rade, comme les tours solaires, l'exploitation des différences de température dans les océans, l'énergie des vagues. Un ami veut relancer ces projets de tours solaires. L'idée géniale est d'appuyer ce construction sur des flancs de montagne, ce qui divise par dix leur coût de construction, leur nuisance, le risque vis à vis de la navigation aérienne. Des tours de plus de mille mètres de dénivellé sont envisageables, faciles à camoufler, en laissant par exemple la végétation les recouvrir. Il n'est nullement indispensable qu'elles soient verticales. Les serres qui les alimentent en air à 80° pourraient être implantées dansd des régions désertes ou en voie de désertification.
Sous ces serres, des masses liquides, séparées par une plaque conductrice de la chaleur, couplées avec un échangeur, assurant, par effet de volant thermique, un fonctionnement de jour comme de nuit.
Tous les déserts du monde sont des sources d'énergie illimitées, comme le Sinkiang, au nord de la Chine, ou la Mongolie, le Sahara. L'électricité peut s'exporter à des milliers de kilomètres, y compris sous les océans, sous 400.000 volts. Tout cela est infiniment plus intelligent que ces éoliennes tripales, devenues un lobby comme un antre, d'une construction ruineuse, d'un entretien coûteux, sans compter la pollution sonore et la dégradation de l'environnement.
Quand je pense que nous étions allés à Dubaï, Tardy et moi, dans l'espoir de pouvoir sensibiliser un émir de rencontre avec ces questions, invités par Hervé Jaubert, ancien de la DGSE, ancien élève de l'Ecole Navale (il a du sécher des cours), fondateur de cette fumisterie de société Exomos, censée construire des ... sous-marins de tourisme, aussi profilés que des pianos à queue.
Il y a un vaccin qu'il faudrait inventer d'urgence, et rendre cette fois obligatoire à l'échelle de la planète
C'est un vaccin contre la connerie
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L'épilogue :
Une dernière remarque : Ce serait une erreur de se focaliser sur la personne de Roselyne Bachelot dans cette affaire de fausse pandémie. Les responsabilités se situent à plus haut niveau, à l'échelle internationale, au siège même de l'Organisation Mondiale de la Santé, d'où tout cela est parti ( décision de l'OMS der réviser la définition même du mot pandémie ). Lien
" Durée de vie " des vaccins : 18 mois. Au delà : péremption
Roselyne Bachelot s'empêtre dans de nouveaux mensonges
Zemour, sur RTL, cartonne sur l'OMS
30 décembre 2009
http://www.unisfaceauvaccin.org/
On conseille aux médecins de prescrire désormais du Tamiflu pour toute affection grippale
30 Décembre 2009 :
Maintenant, si vous voulez toujours vous précipiter vers le centre de vaccination le plus proche de votre domicile, libre à vous.
Roselyne Bachelot cible les personnes à mobilité réduite
A titre de contraste, le discours de son homologue polonaise, également ministre de la santé
Pandémie ? Vous avez dit pandémie ?
La grippe saisonnière fait ordinairement 18.000 morts par an dans ce pays de 300 millions d'habitants.
L'avis d'un médecin spécialiste des maladies neuro-dégénératives
Fausses couches en série chez des femmes enceintes peu après leur vaccination contre le H1N1
Le saviez-vous ? Coût du dépistage : 283 euros, non remboursé par la sécu !
http://www.youtube.com/watch?v=DgOJzHbcm-8
Le livre du docteur Girard
Des réponses professionnelles à une réaction citoyenne Comparativement à d’autres excès d’une médicalisation délirante (échographies obstétricales, mammographies, vaccins contre les HPV, dépistage du cancer de la prostate…), la situation avec la grippe « porcine » se signale par une discordance nette et bienvenue entre le discours des autorités et le scepticisme majoritaire des citoyens. Quand le Monde Diplomatique du mois de septembre 2009 déplore à juste titre le « découragement populaire » devant l’assujettissement du politique aux forces de l’argent, une situation de décalage aussi aigu fait d’autant plus espérer un sursaut de conscience démocratique qu’elle se présente juste au décours d’une crise économique majeure laquelle, à sa façon, a elle aussi marqué le divorce entre l’aveuglement du discours dominant (« les fondements de l’économie sont sains », « l’Etat n’est pas la solution : c’est le problème »…) et la perception douloureuse d’une majorité citoyenne (dont les suicidés du travail…) expérimentant au jour le jour que non vraiment, les choses ne pouvaient pas se poursuivre à ce rythme… Lors d’une récente émission (@rrêt sur images, 04/09/09) à laquelle j’étais invité, l’un des participants a soutenu que pour ce qui concerne la grippe porcine, le calme de la population serait à mettre au crédit d’une presse « qui aurait bien fait son travail ». C’est strictement faux : la presse, dans sa majorité, s’est laissé entraîner dans un tourbillon de moins en moins critique, et la discordance qui vient d’être évoquée transparaît justement des réactions ironiques ou agacées que provoquent, chez les lecteurs ou spectateurs, cette docilité majoritaire des médias. La population n’est pas « calme », elle est exaspérée par cette débauche d’alarmisme. Et c’est cette exaspération qui mérite d’être interprétée. En l’espèce, les gens perçoivent d’autant plus la manipulation dont ils font l’objet qu’ils ont peur, également, de l’inventivité préventive des autorités. Peur pour l’argent de leurs impôts et de leurs cotisations, bien sûr, mais peur aussi pour leur santé ou celle de leurs proches et de leurs enfants : plus avancés sur ce sujet (comme sur bien d’autres) que leurs représentants politiques, ils ne croient plus, eux, que les vaccins soient des panacées anodines – surtout pas ces nouveaux vaccins que l’industrie multiplie à la va-vite pour compenser le manque à gagner que lui causerait sinon sa consternante incapacité d’innover. |
L'article du docteur Girard qui constitue le résumé de son livre
5 décembre : l'évolution de la grippe reste dans la moyenne saisonnière :
En rouge, l'évolution actuelle de la grippe, début décembre 2009
En vert les maxima, en bleu, les minima
Il s'agit d'ailleurs de " la grippe " et non de ce mythe que serait " la grippe pandémique " ( toutes les grippes sont pandémiques ). Par ailleurs le gouvernement et les médias qualifient de grippe H1N1 toute grippe bénigne, en attribuant à ce virus tous les cas constatés.
Message d'un lecteur : 30 novembre : Je viens d'avoir mon ex femme au téléphone... Elle me dit son affolement.. Elle reçoit à la maison des courriers incessants, invitant à la vaccination pour chacun de mes trois enfants.... Heureusement, nous nous efforçons de garder les pieds sur terre.... Je consulte régulièrement votre plate forme..... et maintenant plus que jamais il est vrai de dire : pensez par vous même!!!!! - J'ai la grippe A, dit elle....j'ai tous les symptômes, et il m'ont dit que c'était ça! Il faut que je reste à la maison avec un masque, et il m'ont dit de faire vacciner mes deux filles vendredi" |
4 décembre 2009 : Le fils de mon voisin Peter a la grippe. Il a de la fièvre, mal à la tête. Comme il a six ans, le père fait venir un médecin. Dialogue : - C'est du H1N1 - Pourquoi ? - Il présente les symptômes - Mais, ça ressemble à une grippe ordinaire. - Oui, mais on nous a dit de dire cela. - Vous comptez faire faire une analyse ? - Pensez vous, ça coûte plus de 200 euros !
6 décembre 2009 : Peter vient de me téléphoner. Son fils avait aussi la colique. Il a fait venir un autre médecin, qui a diagnostiqué cette fois, non la grippe H1N1, identifié par le premier praticien, mais ... une gastro-entérite. Brillant....
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Un nouveau texte du docteur Girard, sur la grippe porcine
Comment le mercure provoque la dégénerescence des neurones ( maladies neuro-dégénératives )
Allez constater cette action en direct sur cette vidéo !
Le thiomersal, conservateur des vaccins, contient du mercure
Si vous n'avez pas lu les deux pages qui suivent, commencez par vous y reporter pour avoir des éléments de base :
- Dans la page " Pandémie " : Qu'est-ce qu'une affection virale ? Qu'est-ce que c'est qu'un grippe ? Une pandémie ? Qu'est-ce qu'un " grippe saisonnière " ? Combien de morts par an ?
- Dans cette autre page : pourquoi les saisons sont-elles inversées, entre les pays de l'hémisphère Nord et ceux de l'hémisphère sud ? Pourquoi ceux de l'hémisphère sud vivent-ils cette pandémie avec six mois d'avance sur nous, vis à vis des saisons ?
- En supposant que vous ayiez lu ces contenus, nous allons pouvoir passer au feuilleton de l'hiver, le " feuilleton-grippe ", qui risque de nous tenir en haleine jusqu' la fin du printemps. Les informations les plus récentes seront évidemment en haut de page
Premier décembre 2009
Suite du feuilleton. Dans l'intermède j'ai travaillé sur mon prochain bouquin, une bande dessinée sur l'électricité.
Où en est-on ? Toujours au même point. L'évolution de cette grippe, en France, se lit et se lira semaine après semaine sur les graphiques publiés par le bulletin du très officiel http://www.grog.org qui fournit des chiffres comparatifs, ce que les politiques et le journalistes se garderont bien de faire.
Que va-t-il se passer dans les semaines ou mois à venir ? Tout s'interrogent. Mais une chose est sûre : la campagne d'affollement de la population bat son plein, et les grands médias donnent le ton.
La grippe tue. C'est inéluctable.
De nombreuses maladies ont disparu, dans les pays tempérés, principalement à cause de l'hygiène. Dan un pays de dizaines de millions d'habitants, on signalera, de loin en loin, encore quelques décès. Ca ne sera peut être pas le zéro complet. Mais la grippe saisonnière, quel que soit le nom qu'on lui donne, continuera de tuer, chaque année, ses deux à trois mille Français. C'est comme ça et on n'y peut rien. L'efficacité du vaccin anti-grippal reste contestée. On ne dispose pas de statistiques fiables prouvant sans conteste son efficacité. Elle est seulement " estimée ", au mieux à 50 %.
Les virus de la grippe sont en perpétuelle mutation.
C'est également un phénomène séculaire, inéluctable. Même si on décide de l'appeler grippe saisonnière, celle de 2009 n'est pas celle de 2008, etc. Il est donc impossible de construire un vaccin définitif, immuable, contre " la grippe ". Il faut chaque année recréer un vaccin dès qu'on identifie la souche de l'année. C'est comme le Beaujolais. De toute façon, elle mutera pour devenir la grippe de l'année prochaine, et ces souches, multiples, peuvent muter pendant la saison grippale.
On assiste actuellement à une intoxication remarquable dans les médias. Je cite des titres, dans yahoo actualité de ce jour
Ailleurs on pointe le projecteur sur la mort d'une fillette " qui était apparemment en très bonne santé et " où rien ne laissait prévoir que ....". Ces nouvelles apparaissent, puis disparaisse. Juste un gros titre pour bien foutre la trouille aux moutons de Panurge, qui se précipitent en masse.
Eh oui, la grippe, c'est aussi ça. Je le sais, je l'ai vécu, avec un gosse d'un an, en détresse respiratoire absolue, qui s'en tiré de justesse après un séjour dans le coma. Et " rien ne laissait prévoir que .... ".
Regardez ce graphique extrait du suivi hebdomadaire de la grippe en Frange par le très officiel " grog " :
En rouge, l'évolution des IRA, des infections respiratoires aiguës en 47° semaine. Tout au long de l'année, les hôpitaux connaissent des infections respiratoires aiguës, liées à de multiples facteurs, entre autre à des infections bactériennes. La bosse saisonnière correspond aux effets du froid et de la grippe. Nous sommes en 47° semaine. Eh oui, il y a une augmentation. Mais tant que cette courbe rouge restera en dessous de la courbe verte, celle des maximas, on ne pourra considérer la grippe de cet hiver comme plus dramatique que celle des années passées. Revoyons les courbes de dernières années :
Ca commence par un palier, puis le phénomène s'accentue. On voit qu'il est courant qu'il y ait " une deuxième vague ", une " deuxième bosse ". De nombreuses courbes sont en dos de chameau ( lequel a deux bosses, c'est le dromadaire qui n'en a qu'une ). Puis, à partir de février-mars, ça redescend. Cela s'est passé ainsi dans l'hémisphère sud, en avance de six mois par rapport à nous. Les Argentins, les Chiliens, les Australiens, les Noé-Zélandais ont vécu leur épisode grippe A(H1N1) comme une grippe saisonnière des plus banales. Il n'y a pas eu de grandes déclarations alarmistes, ni d'appels vibrant à la vaccination de masse. On n'a pas mis en avant la question d'une mutation du virus H1N1. Peu de fermetures d'écoles. Pas de fermetures de services publics, de port de masques ou d'usage de gel désinfectant. Il y a eux des morts, dans les fourchettes d'âges standard, en nombre habituel. Nos médias, nos politiques, se gardent bien de le préciser.
Le climat a des incidences sur l'importance des dommages dus à la grippe. Si vous regardez les courbes noires, celles de années précédentes, elles n'accusent une montée que vers la 45° semaine de l'année, qui correspond à la fin octobre. Là, nous avons tiré jusqu'à la mi novembre avant que la courbe ne se mette à grimper. A cause d'une saison relativement douce. Mais le froid arrive, donc le nombre de cas grimpe. Normal. Ca n'est que si cette courbe rouge bondit et atteint des valeurs anormales qu'on pourra se poser des questions. Pour le moment cela ne semble pas être l'urgence du moment. Nous avons deux données :
- Ce qui s'est passé dans l'hémisphère sud.
- Les donnée de ce début de grippe en France
Maintenant, il est toujours facile d'affoler les gens.
Dans les médias et dans la bouche de nos hommes politiques, on pointe des cas, on présente des données incomplètes, biaisées, des gros titres qui sont parfois contredits quelques lignes plus bas, mais personne ne se hasarde à faire un décompte comparatif, qui est le seul qui ait un sens. Pourquoi ? Mais pour vendre ces fichues doses de vaccins, éviter la boulette d'un milliard et demi d'euros, et pour faire gagner beaucoup d'argent aux industries pharmaceutiques. Je me suis suffisamment étendu sur les effets des adjuvants ( Squalène, Thiomersal au mercure ) pour ne pas avoir à y revenir. Le public commence à connaître ces mots, parce qu'il les a découvert ... dans Internet. Les Industries pharmaceutiques doivent fulminer :
- Pourquoi faut-il que les gens aient trouvé toutes ces informations dans ces " médias parallèles " ? S'il n'y avait eu que les médias officiels, que nous contrôlons, ces questions n'auraient jamais été soulevées.
Les officiels se veulent rassurants. Il y a bien des cas de syndrome de Guilain Barré, des paralysies, mais " pas plus que dans les années précédentes ". On oublie que nombre d'effets secondaires des vaccins ne se font sentir qu'au bout de plusieurs années.
Maintenant, le public sait que parmi les 20 personnes qui constituent le groupe chargé de définir la politique en matière de vaccination, et le suivi des affections, 16 sont payés par l'industrie pharmaceutique. On appelle ça un conflit d'intérêts.
Le professeur Daniel Floret : " je suis rétribué par les industries pharmaceutique. Et alors ? "
On découvre aussi que les laboratoires qui étudient les effets des vaccinations relèvent complètement des industries pharmaceutiques, qui produisent les vaccins. Mais, avant Internet, le public l'ignorait.
Le public a aussi découvert le concept de bénéfice/risque, et découvert que les vaccinations n'étaient pas exemptes de risques, pouvaient engendrer des effets secondaires très graves. Malgré cela, l'intox bat son plein. Le président Obama, pour des raisons qui ne regardent que lui, a déclaré l'état d'urgence au millième mort par la grippe, alors que la grippe saisonnière tue 12.000 citoyens américains chaque année. Aux USA, la grippe continue à tuer, mais ni plus, ni moins que la bête grippe saisonnière. Mais pas question de mettre sous le nez des citoyens américains des chiffres comparatifs. Alors, les gens se presse, comme les moutons de Panurge :
-Dépêchez-vous, il n'y en aura peut être pas pour tout le monde !
En inversant la proportionnalité, imaginez le Président Sarkozy déclarant l'état d'urgence en France, au deux centième décès, et déployant des troupes à travers l'hexagone. Faites la règle de trois. France 65 millions d'habitants en France, 300 aux Etats Unis. Cela donne l'état d'urgence au deux centième décès.
On se demande si le monde ne marche pas sur la tête. Il faut bien comprendre que ce thème de Pandémie est parti d'une décision prise au conseil de l'OMS, qui d'elle-même a révisé la définition du mot.
- Avant une pandémie était une maladie qui frappait de nombreux pays et qui tuait un nombre important d'individus.
- Maintenant on a supprimé le second critère, ce qui a permis de présenter la ... grippe saisonnière comme une pandémie !
Margaret Chan, directrice de l'OMS, annonçant l'émergence de la première pandémie du III° millénaire, le 6 juin 2009
Lettre ouverte de Alison Katz, haut fonctionnaire à l'OMS, à sa directrice
Une telle déclaration a permis l'installation d'une foutaise hémi-planétaire ( qui, étrangement, n'a pas touché l'hémisphère sud ! ...). Dans cet hémisphère, par d'explosion des décès, pas de mutations inquiétantes, pas de quarantaines, de port de masques, d'usage de désinfectants. Cet épisode grippe étant passé, il faudra s'interroger sur cette étrange singularité.
On pourrait plutôt titrer " les représentants des grandes Industries Pharmaceutiques mondiales se mobilisent pour permettre à celles-ci d'engranger des profits phénoménaux ".
Que va-t-il se passer ? On entre dans l'hiver. Les cas de grippe vont croître, comme chaque année, comme les accidents de ski. Les journaux titreront "accroissement spectaculaire du nombre de décès". Eh oui, comment voulez-vous qu'il en soit autrement ? Cette foutue grippe tue des milliers de Français de tous âge, chaque année, depuis que le monde est monde. Elle tue majoritairement des vieillards déjà porteurs de multiples pathologies, mais aussi des enfants et des adultes en pleine santé, des êtres qui, à la loterie de la génétique, se révèlent particulièrement désarmés face à une agression virale, banale chez d'autres sujets. Un sur cent mille, statistiquement. C'est comme ça.
Vous ferez ce que vous voudrez. Les données du problème, on vous les a fournies. Précipitez-vous vers les centre de vaccination si bon vous semble, où on annonce que Sarkozy " a demandé le renfort de l'armée ". Moi, je n'irai pas. Ce faisant je ne prendrai pas plus de risque mortel qu'en prenant ma voiture pour fait 20 kilomètres sur un autoroute.
Le monde où nous vivons me fait penser au film " La Machine à explorer le temps " de H.G.Wells. L'auteur commença à écrire son ouvrage à la fin du XIX° siècle. Le film situe l'action au début du siècle. Devant des amis réunis l'inventeur de la machine en fait la démonstration, sur une brève échelle de temps, comme " Doc " avec sa De Lorean, dans " Retour vers le Futur ". . Puis il se décide à partir courageusement pour explorer un futur qu'il imagine radieux, grâce à la technologie. Mais il arrive en pleine guerre de 14-18, avec son cortège d'horreurs. Il tente alors une nouvelle avancée dans le temps et se retrouve au fort de la II° Guerre Mondiale, en pleins bombardements, en plein Blitz londonien. Alors il pousse son levier à fond, espérant trouver enfin dans un futur très lointain l'âge d'or dont il rêve.
Quand sa machine s'arrête, le décor a changé. Dans une belle nature, peuplée d'arbres portant des fruits nouveaux et inconnus de paisibles " Elois " sont rassemblés dans une clairière. Ils sont beaux, ont les cheveux longs, dégustent tranquillement ces fruits, que la nature semble leur prodiguer si généreusement. La scène est champêtre, enfin paisible. Wells se croît ... au Paradis, s'approche. Soudain, à quelque distance, une jeune femme tombe à l'eau. Visiblement, elle ne sait pas nager et semble devoir se noyer rapidement. Il appelle les autres :
- Voyez, cette femme est en difficulté. Faites quelque chose !
Mais personne ne bouge. Les gens du groupe le regardent avec étonnement, sans qu'un son ne sorte de leur bouche. Alors notre héros se jette à l'eau, sauve la jeune femme, qu'il ramène sur la berge, transi, tandis que les autres le regardent avec étonnement.
- Eh quoi, s'écrie-t-il ! Cette femme se noyait et nous n'avez rien fait !?!?
Mais soudain une sirène se faire entendre, identique à celles qu'on entendait et que, tout enfant, j'ai aussi souvent entendu, pendant la guerre de 39-45. Alors les Elois se lèvent et, vêtus de toges blanches marchent lentement, docilement, vers cette source sonore. Une voix retentit
- Gagnez les abris ! gagnez les abris ! ....
Effectivement, a flanc d'une montagne une vaste ouverture se dessine. Les Elois s'y engouffrent en marchant doucement. Wells les interpelle :
- Mais où allez-vous, que faites-vous ? Que signifie tout cela ?
- Nous devons aller aux abris, lui répond quelqu'un, en lui lançant un regard inexpressif.
L'arrêt de la sirène marque la fin de l'alerte. Une lourde porte en fer coulisse et en verrouille l'entrée. Les Elois, qui se retrouve face à cet obstacle, rebroussent tranquillement chemin.
- Ca y est, l'alerte est finie.....
Ils s'en vont regagner leur clairière, au bord de l'eau et poursuivre leur repas bucolique. Wells tambourinne à la porte d'acier, sans succès. Qu'est-il advenu de tous ceux qui se sont retrouvés enfermés dans cet étrange abri ? Il poursuivra ses recherches et découvre des sortes de cheminées d'aération, qui semblent mener vers un monde souterrain. Il s'y aventure et le découvre, empli de bruits de machines diverses. C'est le monde des Morlock, des êtres à la peau blanche, albinos craignant la lumière.
En restant à couvert, il continue de s'approcher et découvre l'effroyable réalité : L'humanité a évolué vers deux espèces différents. Les Elois sont paisibles, mais totalement passifs, conditionnés. Les Morlock se nourrissent de leur chair, et ces appels aux abris signent simplement l'appel qu'il lancent chaque jour à ceux qu'ils tueront, dépecerons et dont ils mangeront le chair.
En sommes-nous déjà là ? Je me le demande. Tout porte à croire que l'espèce humaine s'engage dans un bien étrange destin. Un lecteur, qui ne voulait pas dévoiler son nom, m'a envoyé un CD où il prétendait avoir extrait des messages subliminaux, qu'il aurait détecté dans les différents médias, et extraits à l'aide d'un logiciel spécialisé. Les messages subluminaux sont des phrases dotées d'une puissance sonore trop faible pour que les êtres humains puissent les percevoir consciemment, au milieu d'un fond sonore quelconque. Ceux-là, lancinants, répétaient :
Vaccinez-vous... vaccinez-vous ......
J'ai écouté. C'était impressionnant. Mais comme je n'avais pas la source de cette information, la preuve tangible de sa véracité, je ne lui au pas donné écho.
Je vais passer à la page " Chronique ". Il y a beaucoup à dire. Pour ce journal " vaccination ", je n'ai pas grand chose de plus à ajouter, sauf une courbe montrant la corrélation entre la croissance de ces "maladies rares" avec le développement des campagnes de vaccination.
Envoyé par Xavier Lafont : Source : http://sfc-fibro.over-blog.com/pages/III_LES_EXAMENS_DE_SECONDES_INTENTIONS-1464549.html Il s'agit d'un graphique publié par la Caisse Primaire d'Assurance Maladie en 2004. Ce graphique épidémiologique présente l'intérêt de comparer la prévalence et l'incidence des maladies auto-immunes à celle des campagnes de vaccinations en fonction des années.
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Il faudrait par ailleurs que je fasse un digest agrémenté d'images d'un document assez long, 90 minutes, retraçant une opération datant des années cinquante, où des médecins américains et belges ont mené sur un million d'Africains une vaste opération de vaccination, dont le but était, à l'époque, de tester un vaccin contre la poliomyélite. Si vous en avez le courage, ou la patience, allez voir ce document. Vous y verrez comment on a traité un million d'hommes, de femmes et d'enfants comme du bétail. C'était dans les années cinquante. Le Zaïre était encore le Congo Belge.
Pour produire un vaccin contre un virus, il faut le cultiver, en infectant un tissu où il aura fortement tendance à se multiplier. Le virus de la grippe est cultivé sur des oeufs de poules, sur un tissu ... aviaire. Ainsi la masse virale croît. Mais une fois l'opération achevée il faut extraire la masse de virus produite, et la séparer des cellules qui lui ont servi de terrain, pour lui permettre de croître et multiplier. Si l'opération n'est pas parfaitement effectuée, elle ça n'est jamais le cas, des cellules du milieu de culture se trouveront automatiquement mélangées au virus, plus les différents adjuvants et conservateurs qu'on aura jugé bon de rajouter. N'importe quel virologiste vous dira qu'il existe alors un risque qu'au milieu de ce broyat de cellules, sur lesquelles la culture virale aura été effectuée, puisse se trouver des germes pathogènes, propre à l'être vivant qui aura fourni ce support permettant la prolifération, et éventuellement des virus déjà présents dans le " substrat ".
Classiquement, le virus de la Poliomyélite est cultivé sur des reins de singe. Quand le vaccin Salk fut " mis au point ", les Etats-Unis et les autres pays se mirent à importer des petits singes macaques par dizaine de milliers. Ils abondent en Afrique. Ainsi des germes pathogènes présents chez ces macaques se trouvèrent mélangés aux vaccins injectés aux hommes. Mais ce qui est mauvais pour un macaque n'est pas automatiquement mauvais pour un homme.
Cependant, très vite, des virologistes avaient décelé chez les chimpanzés des virus susceptibles de créer des des situations d'immunodépression, les VIH ( peut-être reconnaîtrez-vous plus aisément cet acronyme si on l'écrit de manière anglo-saxonne : HIV ). Ils attirèrent l'attention sur le fait que le génome du chimpanzé était très proche de l'homme et qu'en effectuant des cultures de virus sur des reins de chimpanzés on risquait, en vaccinant des individus, de leur inoculer des éléments pathogènes auxquels ils risquaient d'être sensibles. Cette pratique fut donc fermement interdite aux Etats-Unis, déclarée condamnable. Qu'à cela ne tienne, le promoteur d'un vaccin concurrençant le vaccin Salk décida d'exporter ses recherches et d'aller les réimplanter, grâce à un fort financement de groupes pharmaceutiques, dan un pays colonisé, le Congo Belge, où on s'accorderait pas d'attention à ces détails. Ainsi fut fait. Dans le film vous verrez le résultat de toute une enquête sur les lieux, dans un vaste complexe expérimental, construit en dur, qui subsiste encore aujourd'hui, avec témoignages d'infirmiers noirs et de médecins belges ayant participé à l'époque à la gestion d'une animalerie, où 400 chimpanzés furent tués pour prélever leurs reins. Les chercheurs produisirent un vaccin qui, avec l'appui musclé du gouvernement belge, fut administré à un million d'Aficains, à qui ont ne donna pas le choix.
Chose étrange, les premiers cas de sida, un VIH, se déclarèrent au Zaïre, au voisinage immédiat des lieux où ces opérations de vaccination massives avaient été effectuées.
Fermez le yeux. N'avez-vous pas l'impression d'être devenu du ... bétail ?
18 novembre 2009
La ministre de la santé polonaise exprime des doutes à propos des vaccins proposés. Un discours diamétralement opposé à celui que nous tient Roselyne Bachelot. Le matraquage médiatique bat son plein en France. En fait, s'il n'y avait pas internet, nous serions tous vaccinés depuis longtemps. On assiste actuellement à une bataille qui va se jouer pendant les mois à venir. Les Français obéiront-ils, comme des moutons aux injonctions des lobbies pharmaceutiques, relayées par leurs représentants gouvernementaux et par les médiameuteurs ? Réponse au printemps.
Au fil des jours nous avons découvert que tout n'était pas rose dans les vaccinations.
Je vous suggère de consulter ce pdf, rédigé par des médecins.
Pour beaucoup, comme pour moi-même, cette lecture constituera une découverte. Les déclarations de ces nombreux spécialistes nous donnent le vertige. On lira que très peu d'efforts on été faits pour explorer les conséquences néfastes des vaccins et que très peu d'argent a été consacré à ce sujet, alors que des milliards de dollars ont été investis pour créer de nouveaux vaccins, s'accompagnant de nouveaux profits pour l'industrie pharmaceutique.
Au delà de cela, des courbes nous surprennent Je dirais même : nous stupéfient. D'aucuns ont prétendu, depuis longtemps, que l'éradication de nombreuses maladies tenait plus aux effet de l'hygiène et à l'amélioration des conditions de vie, au renforcement du système immunitaire des êtres humaines, entre autre du faite d'une meilleure nutrition, qu'aux campagnes de vaccinations. Regardez ces courbes :
Les seringues indiquent l'époque où telle ou telle vaccination a été généralisée. Il est clair que l'effondrement de la mortalité liée à l'affection avait commencé bien avant que n'interviennent ces vaccinations.
Regardez, à droite, la similitude complète des déclins des décès dus à la diphtérie dans deux pays où dans l'un, le Canada, les enfants ont été vaccinés et dans l'autre, le Japon, non. Qui, parmi vous connaissait ces graphiques ?
Et voilà maintenant la rougeole :
Voilà maintenant deux affections, le typhus et la scarlatine, pour lesquels aucun vaccin n'a été développé. Pourtant les cas de décès s'effondre, par le simple effet de l'hygiène et de meilleures conditions de vie et d'alimentation.
Que la tuberculose sévisse pendant une période de guerre : normal. Mais regardez les deux courbes ci-après. La décroissance est plus accusée pour la Hollande, qui n'a pas mis en oeuvre une politique de vaccination obligatoire du BCG que pour la France, qui a introduit cette vaccination obligatoire en 1950.
A l'opposé, la vaccination pourrait-elle avoir un effet ... néfaste, accroître les dégâts causés par la maladie qu'elle est censée combattre ? Là encore, laissons parler les chiffres, dans le cas de la vaccination contre la poliomyélite :
Que voit-on sur ce graphique ? Que la poliomyélite est une maladie qui a pris de plus en plus d'importance à partir des années trente. Puis elle a connu un croissance jusque vers les années 57-58. Enfin la maladie a régressé et a disparu. Est-du à la vaccination ? Or, regardez ce graphique. Le nombre de cas est multiplié par trois dès que le vaccin est mis sur le marché. Deux ans plus tard, la maladie ne fait que s'étendre, puis régresse et disparaît pratiquement vers les années soixante-dix, la vaccination obligatoire ayant été introduite en France en 1964. Cette régression est-elle due au vaccin ? : impossible à dire.
Ces graphiques sont extraits de l'ouvrage :
Que vous pouvez trouver sur Amazon
Un livre excellent, très clair
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Docteur Girard : Faut-il faire vacciner vos enfants contre la grippe A(H1N1) ?
Je signale aux parents que lorsqu'ils ont scolarisé leurs enfants, ils ont signé un document autorisant la direction de l'établissement scolaire à procéder à des actes médicaux, en cas d'urgence ou de nécessité absolue, sur leurs enfants, sans requérir leur consentement préalable. Si les instances gouvernementales décident que cette grippe représente un danger pour la population, décrêtent un " état d'urgence ", vos enfants seront vaccinés en urgences sans que vous en ayiez été informés.
Dans ce contexte de" conflit entre les vaccinalistes " et les " anti-vaccinaliste " chacun ira chercher, au cas pas cas, des faits isolés tendant à renforcer un point de vue, ou le point de vue opposé.
- Ici c'est une femme enceinte jusqu'aux yeux qui a été saisie de contractions et a perdu son bébé, dont le coeur s'était arrêté in utéro, après avoir reçu une dose de vaccin avec adjuvant, alors que la politique gouvernementale était de ne pas vacciner les femmes enceintes avec les vaccins opdés avec des adjuvants dangereux.
Contenu de l'article : SANTE - Elle a reçu une dose contenant des adjuvants, mais le lien de causalité n'a pas été établi... Une femme enceinte a perdu son bébé deux jours après s'être fait vacciner contre la grippe A (H1N1), a indiqué ce jeudi l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps), chargée d'étudier la question.
Professionnelle de santé, la femme concernée était enceinte de 38 semaines, soit huit mois et demi. Elle a reçu une dose de vaccin avec adjuvant Pandemrix du laboratoire GlaxoSmithKline. L'effet de ces composants n'étant pas connus chez les femmes enceintes et les enfants, il est pourtant recommandé d'utiliser les vaccins n'en contenant pas. «Le principe de précaution fonctionne à deux vitesses. Pourquoi cette femme a-t-elle été vacciné alors que les textes recommandent que l'on n'utilise pas de vaccin adjuvanté sur les femmes enceintes, s'interroge Patrick Pelloux (Amuf), joint par 20 Minutes. Le directeur de la Santé (Didier Houssin, ndlr) doit s'expliquer là dessus. Il est évident qu'il y a des pressions dans les hôpitaux pour inciter les personnels de santé à se faire vacciner.» «De fortes contractions» Du côté de l'Afssaps, on rappelle que «rien n'empêche une femme enceinte de se faire vacciner avec un vaccin adjuvanté. C'est d'ailleurs le cas par exemple en Suède, note Fabienne Bartoli, adjointe au directeur général de l'Affsaps. On applique un principe de précaution mais le médecin pouvait décider si, au vu des risques, il était préférable de vacciner sans attendre qu'un vaccin sans adjuvant soit disponible.» Dans un premier temps, la patiente a présenté «des symptômes post-vaccinaux classiques», explique de son côté Jean Marimbert, directeur général de l'Afssaps. «Deux jours après la vaccination, elle a eu de fortes contractions» et les médecins se sont aperçu que le coeur du foetus ne battait plus, détaille-t-il. Jean Marimbert a indiqué qu'il y avait chaque année plus de 3.000 morts in utero avec de nombreuses causes possibles comme hypertension artérielle, infection ou diabète et que 30 % des cas restaient inexpliqués. Mais, si aucune «donnée ne permet à l'heure actuelle de relier la vaccination à l'avortement», des examens complémentaires sont en cours.
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Mais ailleurs, on trouvera des allégations comme quoi la grippe H1N1 frappe et emporte en quelques jours des personnes jeunes dont l'état de sante n'inspirait jusque là aucune inquiétude (même source)
SANTE - Traitée depuis lundi par Tamiflu, son état s'est aggravé en quelques heures... Une jeune femme de 27 ans, sans aucun antécédent médicaux, est décédée mardi de la grippe A (H1N1) à son domicile de Viry-Chatillon (Essonne), a indiqué ce vendredi la préfecture.
Aggravation des difficultés respiratoires La veille, la victime avait consulté son médecin pour des symptômes grippaux (fièvre, gêne respiratoire, courbatures). Celui-ci a alors décidé de lui prescrire du Tamiflu. Devant l'aggravation de ses difficultés respiratoires, sa famille a décidé, mardi en fin d'après-midi, d'appeler le Samu. Le centre 15 les a alors orientés vers SOS médecins, qui est intervenu quinze minutes après leur appel. Arrêt cardiaque La jeune fille fait alors un arrêt cardiaque, en présence du médecin, qui contacte à nouveau le Samu. L'intervention des pompiers et d'une équipe médicale ne permettra pas de réanimer la patiente. Les premières analyses ont permis de confirmer la présence du virus A (H1N1). Des examens complémentaires sont effectuées, dont les résultats ne seront pas connus avant quelques jours.
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Dans un des deux cas on rappelle que des fausses couches brutale peuvent se produire, sans cause apparente, et dans l'autre que des personnes apparemment saines peuvent décéder en quelques jours d'une grippe banale, saisonnière, sans qu'on sache pourquoi. Je suis payé pour le savoir. Mon fils, quand il n'était qu'un bébé âgé d'un an, a failli décéder en quelques jours d'un syndrome grippal extrêmement violent.
La grippe tue. Nous le découvrons.
Contrairement aux autres maladies, qui ont pu être maîtrisées par l'hygiène (ou/et) les vaccinations, sans qu'on sache très bien, voir courbes, si la vaccination a pu être réellement y être pour quelque chose, la grippe ne semble pas pouvoir être éradiquée. Les campagnes de vaccination n'ont pas semblé avoir un impact évident sur le score final annuel ( 500.000 morts par an, tous pays confondus, ce qui n'est pas rien). On ne peut pas non plus modifier drastiquement le climat des pays tempérés. Quand le refroidissement survient, le virus se développe à vitesse grand V, sans qu'on sache exactement pourquoi cette flambée, cette pandémie à échelle planétaire de la grippe saisonnière se trouve ainsi boostée par la baisse de température. La grippe est en outre une maladie extrêmement contagieuse.
Cet aspect climatique est un facteur essentiel.
Les moyens de transports actuel font que les virus de la grippe circulent à longueur d'année d'un hémisphère à l'autre. En plein été 2009 ( juillet-août ) le ou les virus grippaux sévissaient dans l'hémisphère sud, y compris le H1N1, parce que là-bas, c'était l'hiver. Des grippes de l'hémisphère sud voyageaient, atterrissaient dans l'hémisphère nord. Pourtant elles n'y créaient pas d'épidémie notable. Parce que le " terrain climatique " ne s'y prêtait pas. Il faisait ... trop chaud ( simple remarque : la grippe ne sévit pas, du moins à cette échelle dans des pays dont le climat diffère de celui des pays tempérés. Mais là-bas on a tout loisir de mourir de tas de choses autres)..
Nous voyons actuellement se développer un phénomène grippal qui s'étend dans l'hémisphère nord, où on entre dans l'hiver. Des grippés de l'hémisphère nord prennent l'avion et atterrissent dans l'hémisphère sud. Et pourtant ils ne créeront pas de relance de cette " pandémie planétaire ", qu'on devrait plutôt qualifier d'hémi-planétaire puisqu'elle ne touche jamais qu'un seul hémisphère à la fois, pour des raison climatiques. Pour l'interprétation de ce décalage saisonnier, lié à l'inclinaison de l'axe de la terre, je vous renvoie à ces explications, que les médias et les spécialistes semblent sans cesse oublier. .
Au passage, combien de français, et même de médecins connaissent ou connaissaient, avant que ce phénomène prenne de l'acuité, l'existence de ce décalage saisonnier de six mois, entre les deux hémisphère. Et combien connaissent, ou connaissaient la raison suffisante du phénomène ( l'inclinaison de l'axe de la terre et non la variation de la distance au soleil ) ?
Face aux prédictions catastrophistes de l'OMS et des pouvoirs publics, nous avons opposé les données issues du développement et de l'extinction de cette " pandémie planétaire ", version hémisphère sud, , sans rebond, ni mutation, qui s'est comportée comme une grippette saisonnière banale, avec son lot inévitable de morts, chez les personnes à risque, mais aussi chez des personnes en bonne santé. C'est comme ça et on n'y peut pas grand chose. Même si vous êtes en excellente santé, vous risquez d'être emporté par une mauvaise grippe en quelques jours. Ce risque est inférieur à celui que vous prenez en chevauchant une moto, ou en prenant votre automobile? Monté brutale de température, en quelques heures, voire moins. Maux de tête malaises, vomissements, diarrhée. Puis oedème ( poumons inondés par une exsudation de liquide). D'où une détresse respiratoire aiguë ( on meurt par noyade et asphyxie). Mon fils a été sauvé in extremis par une intubation. On lui a introduit par le nez une canule et on est allé pomper ce liquide, avec des dégâts internes dont il a mis un an à se remettre. Voilà comment, cette année, nombre de sujets mourront, de par le monde, de la bête grippe. Bien sûr, quand le virus s'attaquera à des êtres dont les systèmes immunitaire est déficient, (où/et) qui hébergent déjà, du fait de cette déficience nombre de bactéries pathogènes, il y aura surinfection, pneumopathie ayant une cause bactérienne, et non virale.
Les vaccinations ont toujours été une excellente affaire pour les grandes entreprises pharmaceutiques. Je me demande même si cela ne constitue par une très importante part de leurs profits. Donc plus il y a de vaccinations, meilleurs sont les chose dans les meilleures détresses respiratoires possibles.
Comme faire preuve d'un minimum de raison face à ce problème ?
Il ne faut d'abord pas méconnaître les effets négatifs, secondaires, des vaccinations en général. Une campagne massive de vaccination antio-grippale à laissé en 1976, aux Etats-unis, des milliers de sujets affectés de paralysies lié à la maladie de Guilain Barré. Le vaccin de l'hépatite B, de triste souvenir, a laissé dans son sillage une cohorte d'individus frappés de cette terrible maladie qu'est la sclérose en plaque. J'ai un vieil ami dont le fils est atteint par cette maladie. Pratiquement paralysé, il ne peut plus, à quarante ans, se déplacer qu'en fauteuil roulant électrique. Ca n'est pas rien. C'est une vie brisée, gâchée.
Ce qui est extraordinaire, mais qui ne nous surprendra pas, et que nous découvrons, c'est qu'il n'y ait eu aucune étude systématique de ces effets secondaires négatifs des vaccins ( et de leurs fichus adjuvants ). Et quand ces études ont été réalisées, à échelle très modeste, elles sont toujours toujours financées par les lobbies pharmaceutiques, producteurs des vaccins, donc juges et parties. Cela aussi, nous en prenons conscience, comme des mensonges éhontés de nos responsables politiques ( Roselyne Bachelot martelant " ces vaccins sont sûrs, ils ont été testés " ).
Comment se fait-il, dans ces conditions, que les états de soient empresser de voter des lois assurant l'immunité
aux sociétés productrices de vaccins, vis à vis de ces effets secondaires catastrophiques ?
Pourquoi ? Puisque ces vaccins sont si " sûrs " ?
On pourrait résumer en cette phrase la politique du monde de l'industrie pharmaceutique :
Les bénéfices, on se les garde. Les risques, on vous les laisse
Nous découvrons que les vaccinations, sans exceptions, présentent un aspect bénéfice/risque que nous ignorions et qu'on nous avait soigneusement caché . Pour les industries pharmaceutiques et les politiques qui ont engagé des sommes considérables pour l'achat de vaccins (un milliard et demi d'euros pour la seule France, avec 90 millions de doses ), conçus à la va-vite, n'importe comment, seul le bénéfice doit être prix en considération. Normal, puisque du fait de l'immunité accordée aux sociétés, le risque ... est nul ... sauf évidemment pour les vaccinés.
Il reste quelques fils conducteurs, pour ne pas être entraînés par l'impression produite par des cas isolés, montés en épingle, d'un côté comme de l'autre :
1 - Il n'est nullement prouvé que le vaccin anti-grippal soit systématiquement efficace. Des études sérieuses l'ont montré. Par contre les présomptions d'effets secondaires lourds, à long terme, sont fortes, sinon avérées.
2 - L'hémi-pandémie du H1N1 s'est traduite, dans l'hémisphère sud, par une grippette banale, modulo son cortège inévitable de morts.
3 - Les courbes émanant de l'observatoire du phénomène grippal en France, le " grog " : groupes régionaux d'observatoires de la grippe ( http://www.grog.org) ne font pas état de signes rélévaleurs d'une pandémie carastrophique en France, contrairement aux prédictions et allégations. Les chiffres restent pour le moment sagement dans la moyenne habituelle.
Sinon, toute proportions gardée, et à l'instar du président Obama, devra-t-on s'attendre un jour à un message du genre " le seuil des des 200 décès étant dépassé, le gopuvernement a décidé l'état d'urgence ". Rappelons qu'Obama a déclaré cet état au millième mort, alors que dans son pays la grippe saisonnière faire chaque année passer de vie à trépas 18.000 américains.
Tout le reste est bourrage de crâne, manipulation médiatique et intrumentation par des experts et des politiciens, sur fond de " conflits d'intérêts "
Cette affaire de vaccination ne fait qu'apporter un peu de lumière sur la collusion entre les intérêts financiers et les discours et décisions de nos politiques. On a de plus en plus l'impression que la recherche effrénée du profit est une règle planétaire. Je ne peux pas être sur tous les fronts à la fois. Chaque jour des gens déversent dans ma messagerie des tonnes d'informations alarmantes. J'essaye de ne pas saturer mes 4000 lecteurs quotidiens en m'efforçant de ne leur arler que d'une chose à la fois pour ne pas déclencher un phénomène de saturation. Tout cela est fatigant, me mobilise plusieurs heures chaque jour. Je le fais par devoir.
Mais il est clair que ces questions touchant à la santé publiques sont les mêmes que celles qui se traduisent par la généralisation des OGM ( sous prétexte, disait Koutchner, d'envisager que le monde, enfin, mange à sa fin ). Même parallèle avec l'enfouissement des déchets radioactifs, un peu partout en France, au coup de pots de vins dont bénéficient des élus locaux. Plus récemment, le gouvernement vient (arrêté du 5 mai 2009) d'autoriser l'ajoût de substances radioactives dans les aliments et les matériaux de construction (...)
Source : http://fr.mg40.mail.yahoo.com/dc/launch?.gx=1&.rand=8sjqoemn7c1o7
L'appauvrissement de la biodiversité, le fait de ne plus trouver dans son assiettes que des tomates et des pommes dénuées de tout goût, et, par delà même, de composants anti-cancérigènes La destructions effrénée du patrimoine végétal an Amazonie. l'ouverture des prisons et la fermeture des écoles.
Sans ce garde fou qu'est Internet ( l'ennemi public numéro un, selon le fils de pub Jacques Segala ) tout cela se développeraient sans le moindre frein, nos médias officiels étant soit muselés, soit carrément complices. Ce à quoi on assiste actuellement, c'est un combat qui monte en puissance entre " les médias officiels " (relais de la politique des gouvernements ) et les " médias parallèles " tenus par des gens " qui ne sont même pas journalistes ".
Quelqu'un a dit " l'avenir n'est écrit nulle part ". Espérons qu'il a dit vrai
17 novembre 2009
Quelques informations communiquées par un médecin généraliste de la région parisienne, âgé de 60 ans.
Les clients consultent en général pour leurs enfants. Il observe peu de contaminations intra-familiale, et ne constate pas de démarrage en flèche, exponentiel, de l'affection. Peut être parce que, dit-il, le temps est resté relativement doux. Il n'a pas l'impression d'être confronté à un phénomène spécialement contagieux. Déclarée, la maladie grippale de ce début d'hiver dure environ quatre jours, sauf quand elle frappe des asthmatiques, des cardiaques, des gens atteints de bronchite chronique, etc )
A propos de la campagne de vaccination, il fait les remarques suivantes :
Les médecins n'ont reçu AUCUNE information du tout sur le ou les vaccins H1N1, il n'y a aucune information de la part du gouvernement ou des instances médicales : c'est le Black Out Total. C'est la première fois dans ma carrière que je vois cela. D'habitude quand un nouveau médicament sort ou même un vaccin , il est obligatoire qu'une fiche d'information technique détaillée ( pas le papier de la boite ni le paragraphe des pages du Vidal ) mais une fiche complète, soit adressée a chaque médecin (même s'il ne le prescrit pas), et avec déjà le contenu du médicament ou du vaccin détaillé, plus les indications, contre indications , tests et évaluations précises ayant eu lieu dans tel et tel cas de profil de malade etc... Là rien du tout. Aucun médecin n'a été informé de quoi que ce soit. Nous mêmes n'avons pas reçu de convocation pour être vaccinés, alors qu'en cas d'épidémie il serait logique que les médecins et le personnel médical soient vaccinés en premier. J'ai juste vu une article dans l'un des journaux que je reçois où ils donnent l'adresse d'un hôpital pour ceux qui voudraient se faire vacciner , c'est tout !!! On n'a absolument aucune information sur ce quoi que ce soit. Moi même j'obtiens toutes mes infos par les médias. C'est encore dans les médias que j'ai découvert le cas récent de réaction au vaccin, avec syndrome de Guillain Barré. Il n'y a aucune information du ministère ou des instances médicales, ce qui est assez grave dans la démarche suivie, vus les risques éventuels que pourraient encourir certaines catégories précises de malades ( cardiaques ou autres ....). Et pire encore, on ne sait même pas de quoi est fait "le vaccin" qui est censé être injecté. En fait dans le pire des cas, comme il n'y aucune fiche ni aucune info , le gars qui va se faire vacciner n'est même pas sûr de savoir ce qu'on lui injecte , il ne sait même pas si c'est du vaccin ou bien autre chose. A la limite ils peuvent mettre ce qu'ils veulent dans la seringue on ne le saura jamais. Le patient ne sait même pas si c'est du vaccin ou bien autre chose. Il y a une opacité totale, voulue et entretenue par le gouvernement, C'est du jamais vu !!! ". Personnellement, je ne consentirai à être vacciné que s'il s'avère que c'est une grosse épidémie et que tout le monde soit à même d'être touché. D'après ce que j'ai pu lire dans les revues médicales, deux voies ont été suivies par les labos. Les labos américains ont élaboré le vaccin contre cette grippe H1N1 en suivant une méthode "classique", en matière d'affections grippales. Les labos français sont partis d'une demande exprimée il y a 3 ans pour le virus de la grippe aviaire H5N1, et comme on sait maintenant que le H5N1 est très peu contagieux , leurs vaccins sont restés inutilisés et ils n'ont jamais servi à quoi que ce soit. Aujourd'hui il est quasiment certain que les labos en question réutilisent ce qui a été élaboré pour le H5N1, et qu'on a juste juste "bidouillé" pour qu'il soit aussi efficace sur le H1N1, profitant au passage de l'occasion pour pouvoir ainsi refourguer une partie des stocks concernant le vaccin H5N2, aviaire, qui leur étaient restés sur les bras . Les urgences pédiatriques surchargées. Les parents filent tous aux urgences dès qu'un enfant a de la fièvre, d'où la saturation des urgences pédiatriques, mais il y a réellement très peu de vrais cas de H1N1. |
Une remarque en passant. Le test H1N1 est coûteux et réservé, par les soignants, aux cas extrêmes. Les personnels hospitaliers refusent d'efffectuer systématiquement ce test lors des admissions, quand l'affaire ne prend pas de proportions alarmantes, pour de simples raisons d'économie. Dans les jours, semaines ou mois à venir il sera hasardeux d'accoler des chiffres à la grippe A(H1N1) ou à la grippe saisonnière. Globalement, on ne pourra que donner des chiffres sur " le phénomène grippal de cet hiver ".
La grippe tue, de toute façon. Mon fils a failli en mourir, de justesse, il y a ... 40 ans : détresse respiratoire, intubation et tout le tremblement. Il est impossible d'éradiquer la grippe, qu'on ne peut que subir chaque année. L'efficacité des vaccins successifs n'est pas évidente, des études statistiques le montrent. Sinon la planète aurait été débarrassée de la grippe depuis longtemps. Ou, pour le moins, le développement des vaccinations auraient fait diminuer de manière sensible de nombre des décès, ce qui n'est pas le cas ! Disons que dans l'immense majorité des cas, c'est une maladie bénigne, et que le fait de l'attraper et d'en réchapper constitue, de par la réponse immunitaire que le phénomène entraîne, une bonne vaccination. Mais il se trouve que chaque année la population paye un tribut à cette affection, qui se chiffre en milliers d'individus, se situant dans des populations à risques, personnes âgées et jeunes enfants au système immunitaire non encore équipé.
Ce qui reste une constante, c'est que le vaccin de la grippe, et les vaccins en général, sont un secteur générateur de gros profits. C'est comme pour les avocats : on est pas sûr de gagner un procès en s'adressant à eux, mais eux sont sûrs de récupérer leurs honoraires, qu'ils se soient montrés efficaces, sous simplement consciencieux, ou non.
- Je ne sais pas si mon vaccin est efficace et inoffensif. Je fais tout pour vous faire croire qu'il est efficace, et également tout pour des études sérieuses concernant sa dangerosité ne soient pas entreprises, de manière objective. Mais une chose est sûre : cela me fera gagner beaucoup d'argent.
Ce qu'on est en train d'essayer de nous faire croire c'est qu'une campagne de vaccination généralisée, éventuellement musclée ( préparée à la hâte, dans des conditions déplorables ) permettrait de matraquer l'affection grippale. Cela n'a rien d'évident. Et au fil de ces dossiers, nous avons ensemble découvert que tout n'était pas rose en matière de vaccination, qu'il y avait des effets secondaires, graves, détruisant des vies, affections dont nous ignorions l'existence. Qu'il y avait un facteur bénéfice/risque, alors que jusqu'ici, dans la tête de tout un chacun, le vaccination " ne pouvait qu'être bénéfique et que les gens qui les refusaient devaient être, pour le moins, membres de sectes ". Il s'est avéré également que ces effets secondaires avaient été dissimulés au public et que les rares études qui leur avaient été consacrées avaient été sponsorisées, quand elles n'étaient pas carrément menées par les grandes entreprises pharmaceutiques.
S'agissant de la campagne actuelle, à travers les propos docteur Girard, nous avons découvert que les principaux responsables de l'actuelle campagne touchaient de l'argent des société pharmaceutiques ( conflit d'intérêt ) ou en avaient été les employés ( Roselyne Bachelot ).
On peut s'attendre, dans les temps immédiatement à venir, à ce que nos "officiels " et nos médias pointent le doigt sur des morts, ce que fait par exemple Roselyne Bachelot, sans fournir la moindre donnée comparative. Mais il y en aura, de 2500 à 3000 dans l'année, quoi qu'on fasse. C'est comme si on disait :
- Encore deux morts cette semaine sur des voitures de marque Citroën, ce qui démontre la dangerosité de ces véhicules !
Ca, c'est se foutre de la gueule des gens, ou les manipuler. Il semble que les chiffres importants, à suivre semaine après semaine, sont ceux donnés par le site officiel http://www.grog.com , le site " observatoire de la grippe ", des chiffres comparatifs qui permettent de savoir si l'évolution du phénomène grippal de cet hiver sort ou non de la fourchette des dégâts habituels liés à ce ou ces virus. Voici la courbe, en date du 17 novembre :
En contrepoint, cet extrait du Monde d'aujourd'hui : Le plan de lutte contre la grippe H1N1 prévoit que les préfets peuvent décider de fermer une classe, voire un établissement, à partir de trois cas apparus dans la même semaine dans une même classe, ou dans des classes différentes ayant des activités partagées, comme la cantine. La fermeture est théoriquement d'au moins six jours consécutifs. |
Un exemple de propos alarmiste, avec gros titre. Le numéro d'hier de la Dépèche, de la région Toulousaine. En rouge, notre commentaire.
Comme on le lit plus loin dans l'article ( mais pour la majorité des lecteurs, seul le gros titre sera mémorisé ), le passage en bleu, souligne : Environ 140 morts pour la grippe saisonnière en Midi-Pyrénées l'année dernière. Si on évalue à 150 jours la duré du phénomène grippal chaque année, cela représente, en faisant abstraction des " pics " , dans cette région midi-pyrénnée un mort par jour ! Donc, statistiquement, on devrait en avoir dix en dix jours. Si on décode ce qui est fourni par ce journal, on en concluerait que la grippe A serait ... 3 fois moins mortelle que la grippe saisonnière, puisque qu'il n'y a eu que 3 morts en dix jours ! Que cherche ce journaliste ? A faire un gros titre ? Imaginez une campagne chiffrant le nombre des morts dans des accidents de la route, dans cette région. Trois morts en dix jours. Entre le 31 octobre et le 10 novembre, Toulouse a enregistré trois décès liés au virus de la grippe A H1N1. Un nourrisson de 12 mois, une femme enceinte de 32 ans et une femme âgée de 40 ans en attente de greffe. Si leurs profils étaient différents, les trois victimes appartenaient à des catégories de population «à risques». Le bébé souffrait d'une maladie métabolique grave. La jeune femme de 32 ans était enceinte de huit mois et demi et présentait une pathologie cardiaque connue. Le virus H1N1 avait été diagnostiqué lors d'un épisode de détresse respiratoire. La troisième victime, une femme de 40 ans en attente d'une greffe, était affecté de «multiples pathologies». Dans les trois cas, la grippe a précipité la mort de personnes fragilisées. Pour Jean Thévenot, le président de l'Ordre départemental des médecins, «le vaccin n'était pas encore disponible, mais il est probable que ces personnes ne seraient pas décédées si elles avaient été vaccinées.» On peut revenir sur cette idée de probabilité. Elle se fonde sur l'idée que la vaccination anti-grippale est efficace à 100 %, ce qui n'est nullement le cas. Son efficacité est même contestée. Le faible engouement pour la vaccination (lire ci-dessous) le laisse présager. Jean Thévenot s'inquiète: «Dans les semaines qui viennent on va avoir des décès qui auraient pu être prévenus par la vaccination.» Même remarque. Si le vaccin anti-grippal était efficace, en le généralisant, il n'y aurait plus aucun décès. Mais il ne désespère pas d'un sursaut. Car si le redoux n'est certes pas propice à la propagation du virus, les cas se multiplieront avec le froid. «Tant qu'on ne voit pas la maladie frapper son entourage, on se dit «ça n'arrivera pas chez moi», ajoute le docteur Thévenot. Aux Etats-Unis, on ne se précipitait pas dans les centres de vaccination. Et puis le nombre de cas est monté en flèche et on s'est retrouvé avec des files d'attente». Oui, dès le 20 novembre. Hier en effet, l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) a donné son feu vert à la mise sur le marché du vaccin sans adjuvant produit par les laboratoires Sanofi-Pasteur, recommandé pour les personnes les plus fragiles. J.-L. D.-C. Qu'est-ce qu'on fera des doses avec adjuvants ?? A qui seront-elles réservées ? Quels sont les points communs entre les trois victimes ? Et la grippe saisonnière ?Les décès causés par la grippe A H1N1 ont donc touché des personnes « à risques ». Pour rapide à se propager qu'il soit, le virus demeure bénin. Moins ou plus mortel que celui de la grippe saisonnière ? Difficile de comparer les deux virus. Sous le terme générique commun de « grippe », ils s'attaquent à des populations différentes. La grippe saisonnière montre une prédilection pour les personnes âgées quand le virus H1N1 épargne les plus de 64 ans et s'en prend avant tout aux 5-14 ans, selon les données du réseau GROG (Groupes régionaux d'observation de la grippe). Ce que l'on sait, observe Jean-Louis Bensoussan, président du GROG Midi-Pyrénées, c'est que « la grippe saisonnière a touché 130 000 personnes l'an dernier dans la région ». Combien en sont mortes ? « Impossible à savoir en l'absence d'informatisation. On ne peut qu'extrapoler en divisant les 3 000 morts au niveau national par 22 régions ». Ce qui ferait environ 140 morts de la grippe saisonnière en Midi-Pyrénées l'année dernière. Les Toulousains boudent la vaccinationAuraient-elles survécu si elles avaient été vaccinées ? Le virus H1N1 tuera-t-il à nouveau à Toulouse en dépit du vaccin ? Et voilà un avis d'expert, répercuté par le journal, qui se transforme soudain en interrogation ..... Cet article c'est ... n'importe quoi. La campagne de vaccination contre la grippe H1N1 ne suscite pas plus l'adhésion des Toulousains que des Français. Après deux jours d'ouverture des 15 centres de vaccination du département, jeudi et samedi derniers, la préfecture avait comptabilisé 879 personnes vaccinées en Haute-Garonne pour 932 personnes reçues. Les 53 personnes non-vaccinées présentaient des contre-indications. A Toulouse, 417 personnes ont été vaccinées (440 reçues). Jeudi, jour de lancement de la campagne, seules 431 personnes étaient allées se faire vacciner dans les centres haut-garonnais, dont 159 à Toulouse. Soit une trentaine de personnes à peine par centre. À noter que les personnes souhaitant se faire vacciner peuvent se présenter spontanément dans les centres de vaccination ou prendre rendez-vous sur www.haute-garonne.pref.gouv.fr Centres ouverts le mercredi de 15 h à 19 h et le samedi de 9 h à 13 h : 4.Muret. Square Maimat. 5. Colomiers. Ancienne école Jean-Macé, 6, place Joseph-Verseille. 6. Ramonville Saint-Agne. Gymnase place Karben. 10. Blagnac. Ancienne ferme de Pinot, allée André Turcat. 12, 13, 14 , 15. Toulouse. Gymnase de Saint-Martin du Touch, 206, route de Tournefeuille ; salle Barcelone, allée de Barcelone ; gymnase Cosec du Mirail, rue Ferdinand-Laulanié ; caserne Pérignon, 1, rue Marancin. Ouverts le mercredi de 15h à 19 h : 1. Bagnères-de-Luchon. Salle Henri-Pac casino, place Richelieu. 2. Saint-Gaudens. Salle municipale Belvédère, rue du Belvédère. 3. Rieux. Salle polyvalente le Marfaud. 7. Balma. Salle polyvalente, avenue des Arènes. 8. Villefranche-de-Lauragais. Salle des fêtes, place G. Gales. 9. Revel. CCAS, boulevard J-Jaurès.11. Pechbonnieu. Salle des fêtes, chemin de Labastidole. Les femmes enceintes peuvent-elles se faire vacciner sans risques ? Encore un sujet abordé sous la forme d'une question ... sans réponse. Ecoles : pas de fermeturesUne maternelle à Limoux (11), des écoles primaires à Biarritz (64) ou Prayssat (47), un collège à Nay (64)… les fermetures d'établissements pour cause de grippe H1N1 se sont multipliées ces derniers jours. Mais pas en Haute-Garonne. « Il n'y a jamais eu de fermeture systématique, rappelle Anne-Gaëlle Baudouin-Clerc, directrice de cabinet du préfet. Les fermetures sont moins justifiées aujourd'hui car le contexte a changé depuis septembre. Nous ne sommes plus dans une logique où l'on essaie d'endiguer la propagation du virus. La priorité est de vacciner au maximum avant le pic pandémique. » Pas de fermeture ici, fermetures là, quelle est la cohérence ? « C'est une affaire d'appréciation. Chaque préfet décide en fonction du bilan entre les bénéfices d'une fermeture et l'impact en termes de vie sociale ».
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16 novembre 2009
Un film que j'avais hésité à mettre en ligne : " Silence, on vaccine " ( effets des adjuvants métalliques : mercure, aluminium. Origine : Canada ) |
C'est un film qu'il faut voir. Mal monté, non homogène, avec des longueurs, mais aussi beaucoup de témoignages impressionnants. Certains passages sont clairement accessibles pour l'homme de la rue. D'autres relèvent du discours de spécialiste. Je manque de temps pour en extraire les temps forts et passages essentiels. On revient en tout cas sur les ravages de a vaccination contre l'hépatite B.
Ci-après un article paru dans Agoravox :
http://www.agoravox.fr/culture-loisirs/parodie/article/vaccination-grippale-le-plan-64926
On peut adhérer ou ne pas adhérer à l'hypothèse lancée par l'auteur. Par contre celui-ci est allé piquer une vidéo évoquant la campagne de vaccination de 1976, au Etats Unis, à laquelle se soumirent 46 millions d'Américains et qui laissa à 4000 d'entre eux des séquelles neurologiques. Regardez cette vidéo, elle est instructive et assez effrayante quant aux suites. On est soin du discours rassurant de dame Bachelot.
La grippe poorcine américaine de 1976. Matraquage médiatique " roulez vos manches ". Pour une jeune femme en pleine forme : la maladie de Guilain Barré
Trente ans après , le slogan est le même : " Remontez vos manches ! "
" Remontez vos manches ! "
14 novembre 2009
Voici des données comparatives du développement de la grippe en France, extraites du site officiel http://www.grog.org ( Groupes Régionaux d'Observation de la Grippe )
On voit que la grippe est un phénomène qui se situe entre fin octobre et fin mars et que le phénomène grippal présente souvent un "phénomène de rebond", avec deux maxima se situant entre novembre et février, sans que ceci ne puisse se traduire par une " flambée " de l'affection.
Si on se réfère à l'hémisphère sud, où il y a une demi-année de décalage, ces régions se situent actuellement dans une saison équivalant pour nous au mois de mai. Le printemps est derrière, l'été s'approche. Le phénomène grippal, quel que soit sa nature et son origine, a pris fin là-bas, et il n'y a pas eu de "seconde vague". L'hémisphère sud a donc connu une grippe saisonnière des plus banales. Sur la base de cette donnée, il n'y a aucune raison logique, autre que d'amortir le fabuleux stock acheté à prix d'or par nos " responsables ", de courir se faire vacciner dans des centres, prévus pour accueillir ... mille personnes par jour, dans une situation d'urgence fiévreuse. Voir la vidéo installée sur le site du Figaro, montrant des centres de vaccination pour le moment déserts.
Début de la campagne de vaccination
Le graphique ci-dessus permet de comparer, qualitativement, l'impact grippal en France, toutes régions confondues, depuis les années 2000 à 2008. On trouve effectivement des variations du simple au double, ce qui a toujours été le cas. Les courbes verte et bleue permettent de situer les maxima et minima de ces phénomènes grippaux, sur huit années. Elles permettent de situer les ampleurs maximale et minimale du phénomène grippal en France, débouchant sur une infection respiratoire aiguë ( IRA ). La courbe en rouge représente l'évolution actuelle de la grippe en France. On voit que ce phénomène n'est pas significativement inquiétant, et se situe dans la fourchette habituelle de la grippe saisonnière.
Déshabillons ce graphique des données, en noir, correspondant aux analyses années par années, pour mieux voir :
Données de www.grog.com du 17 novembre 2009 : http://www.grog.org/cgi-files/db.cgi?action=bulletin_grog
On voit que l'évolution de la grippe actuelle se situe dans une fourchette de complète normalité. Bien sûr, il sera toujours possible, parmi les milliers de morts, d'extraire un cas particulièrement dramatique et de le monter en épingle, de l'évoquer dans les médias avec des trémolos dans la voix. Nos hommes et femmes politiques sont des comédiens rôdés à ce genre d'exercice. Comme je l'ai déjà dit, mon fils, quand il avait un an, a failli mourir d'une pneumopathie qui avait démarré en flèche comme une affection grippale, avec une fièvre à 41° et, très vite, à une détresse respiratoire aiguë. On l'avait dû l'intuber et il avait fait deux jours de coma. Les très jeunes enfants n'ont pas un système immunitaire encore très développé. Si cette affection pouvait être au départ grippale, il avait subi une surinfection bactérienne, qui faillit l'emporter.
La grippe tue, c'est indéniable. Que ce soit chez de très jeunes enfants, chez des gens âgés ( 90 % des décès ) ou chez des adultes, elle peut se poursuivre par des pneumopathies atypiques dont les antibiotiques ne viennent pas automatiquement à bout.
Seule les statistiques sont parlantes. C'est une grande malhonnêteté de les cacher. Or ces statistiques, vous les avez sous les yeux. On a vu, et tout le monde commence à le savoir, que la vaccination n'était pas innocente, surtout avec des vaccins comportant des adjuvants, dont le public a découvert l'existence. Si l'opération ne présentait pas de risques particuliers, pourquoi les gouvernements se sont-il empressés de faire passer des lois-décrets dégageant les compagnie pharmaceutiques de toutes poursuite en cas de complications ?
Qu'est-ce qui se cache derrière tout cela. Quel est le plan poursuivi ? Est-ce seulement une affaire de gros sous ? Pourquoi le gouvernement américains manoeuvre-t-il actuellement pour attribuer à une seule compagnie le droit de conditionner les vaccins ( canule et seringue ).
Maman, je ne veux plus avoir d'autres vaccins
Pourquoi un pays de l'hémisphère nord, l'Ukraine, semble-t-il être sous le coup d'une affection non encore identifiée, au sujet de laquelle circulent les bruits les plus divers ?
Pour ceux qui ne savent pas où je trouve l'Ukraine ( au nord de la Mer Noire )
Voici quelques informations intéressantes, liées à ces évènements récents d'Ukraine, pour lesquelles nous espérons avoir dans les jours qui suivront plus de précisions. Un article d'Alter Info. Interpol a organisé des exercices de prévention en cas d'attaque bioterroriste à la peste. La troisième édition du genre à eu lieu à Warsaw (Varsovie) en Pologne les 29 et 30 septembre derniers. Les pays participants sont: la Biélorussie, la République tchèque, la Finlande, la Pologne, la Slovaquie et l'Ukraine.
Vue l'importance du document, émanant du site d'Interpol, il nous a semble utile de produire une recopie d'écran, avant traduction.
Exercice international Tabletop, sur le bioterrorisme.
En septembre 2009 des juristes officiels, des professionnels de la santé, et des experts d'organisations internationales ont conjugué leurs efforts pour faire face à une crise, un exercice, où la peste aurait été lâché sur leur pays par des terroristes inconnus.
Un scénario de fiction, mais une opération bien ciblée Fort heureusement, cette situation terrifiante restait totalement maîtrisée, les autorités civiles participants à cet exercice Tabletop, destiné à prévenir tout acte de bioterrorisme, dans le cadre des activités d'INTERPOL. L'exercice consistait à simuler une action de bioterrorisme et d'évaluer ses conséquences. Les participants à cette attaque par la Mort Noire étaient confrontés à une situation fictionnelle selon laquelle leur pays serait la cible d'une telle attaque. Le but consistait à déterminer quelles collaborations devraient être mises en jeu pour apporter une réponse rapide à une telle situation, dans la vie réelle. L'idée sous-jacente de cette exercice, le troisième d'une série organisée par INTERPOL a été présentée par le secrétaire général de l'organisation, Ronald K. Noble comme un moyen de déterminer comment les différents acteurs pourraient joindre leurs efforts et exercer leurs responsabilités, dans chacun de leur secteur : police, santé, professionnels, experts, de manière à maîtriser une attaque par bioterrorisme, tout en étant à même de tirer des leçons de cette expérience.
Coopération entre les différentes agences européennes. Cette troisième édition d'un exercice géré par la cellule de bioterriorisme d'INTERPOL s'est tenue les 29-30 septembre à Varsovie. Les participants, au nombre de 27, étaient issus de six pays d'Europe Centrale : Biélorussie, Tchéquie, Finlande, Pologne, Slovaquie et Ukraine. A ceux-ci s'étaient joints 15 autres participants relevant d'organisation internationales comme Europol, Le bureau pour les affaires de désarmement ( UNODA), l'OMS, l'Organisation Mondiale de la Santé (WHO), le Centre Européen pour le contrôle des maladies, la Commission Européenne pour les affaires de santé, je Justice, de Libertés et de Sécurité ainsi que l'organisation pour les affaires de sécurité et de coopération en Europe et dans les états indépendants du commonwealth (CIS).
Un large champ d'initiative pour INTERPOL. L'exercice Tabletop est le dernier d'une série lancée à l'initiative d'INTERPOL depuis la création de ce programme de prévention du bioterrorisme. Interpol a travaillé sans relâche depuis 2005 pour attirer l'attention des membres des autres pays sur les dangers du bioterrorisme en les incitant à se préparer à une telle éventualité. Le programme de prévention du bioterrorisme a ainsi coordonné une série d'événements, en commençant par la tenue d'une Global Conference on Preventing Bioterrorism en mars 2005. Il y eut des ateliers régionaux ( regional workshops ) en Afrique, Amérique du Sud, Europe et Asie. in Africa, South America, Europe and Asia; également des exercices.
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On constate une chose. Les événements du 11 septembre, puis les attentats perpétrés en Angleterre, mis sur le compte de l'organisation terroriste Al Qaïda ont toujours été synchrone avec des manoeuvres ayant exactement le même thème, dans les deux cas. On trouvera une vidéo sur les attentats de Londres, du 7 juillet 2005, à : Ludicrous Diversion 7/7 London Bombing Documentary - part 1
Une présentation qui conteste la version officielle des événements. Ce qui est avéré c'est que, comme dans le cas des événements du 11 septembre 2001, les attentats de Londres se sont déroulés conjointement à un exercice de sécurité ayant exactement le même thème. Dans les deux cas on peut trouver ces coïncidences troublantes.
2001, 2007, nous plongeons dans un passé relativement récent. Les bruits qui nous proviennent d'Ukraine, évoquant une fermeture des frontières, le développement d'une affection tenant plus d'une peste pulmonaire ( Anthrax ou maladie du charbon ) que des effets d'une grippe sont là. Y aura-t-il confirmation ?
On a l'impression que ce climat de peur , depuis huit longues années, a un but. Dans un dossier que je viens de regarder, concernant la torture à Guantanamo
Gantanamo : détenu sortant d'une séance de conditionnement.
Notez deux choses : le visage ensanglanté du détenu, et les gants de caoutchouc portés systématiquement par les soldats, qui ne correspondent pas à un souci d'hygiène, mais à une déshumanisation des détenus, par absence total de contact physique, charnel.
Abu Ghraib ( 2004 )
A la prison d'Abu Ghraib, 2004
http://www.mediapart.fr/contenu/torture-made-usa-une-enquete-exclusive
un fonctionnaire du FBI apporte sa propre conclusion : la peur peut conduire à des extrêmes. Et il évoque la peur des Juifs, la peur des Gitans, la peur des Communistes, qui fit basculer l'Allemagne dans le Nazisme. Serions-nous confrontés à un début de folie collective, à
Une instrumentation de la peur
A propos de ces comportements qui peuvent sembler aberrants, de la fragilité psychologique des individus, et de leur relativement facile tendance à verser sans le sadisme, voir l'expérience menée en 1960 et 1963 par le psychologue Stanley Milgram et l'expérience de Stanford (1971).
Je ne suis pas loin de partager la thèse de Thierry Meyssan :
http://www.voltairenet.org/article162377.html#article162377%29m%27ont
Ces tortures, comme celles qui sont pratiquées en Egypte, contre les islamistes, ne sont pas des reconditionnements ou des procédures d'intimidation, mais une façon de fabriquer de la violence, afin de justifier la fascisation des régimes " permettant de la combattre ". Il y a des extrêmistes. Il y a des islamistes fondamentalistes, dangereux, prosélytes. Il y a des terroristes. Mais il n'y en a pas assez. Il faut accroître leur nombre. Peu importe que les citoyens payent le prix de cette stratégie de la terreur ( pensez aux attentats de la Gare de Bologne ). Il y a une logique dans tout cela. Les (faux) attentats du 11 septembre ont permis l'émergence d'une " guerre totale contre le terrorisme ", utilisant la torture pour obtenir des renseignements. Il faut voir le dossier qui montre comment, progressivement, la machinerie juridique américaine a évolué de manière à intégrer l'acte de torturer dans les méthodes d'interrogation. On en revient à " la question " du Moyen-Age. Ce faisant, après le scandale de la prison d'Abu Ghraib, e, Irak, les Etats Unis se sont totalement discrédités à l'échelle du monde entier, dans leur rôle de " défenseurs des libertés ".
Pendant les années de plomb, les services secrets Algériens ont fabriqué de l'extrêmiste islamiste à tout va, pour justifier une stratégie de répression d'une violence inouïe, cachant les tares du régime, sa corruption généralisée.
Partour où on assiste à de la " Terreur Fabriquée " on peut se demander quel est le but poursuivi
13 novembre 2009
Une avalanche de mensonges .....
Le docteur Girard contre Roselyne Bachelot, qui met le paquet
http://www.youtube.com/watch?v=OjQl-Uruv5Y
Je crois que les internautes, et les citoyens, doutent de plus en plus de la sincérité de leurs hommes politiques, toutes tendances confondues. Le manque de confiance fait tache d'huile. C'est peut être le phénomène contemporain par excellence. Le responsable de cette prise de conscience : Internet; véritable danger pour ces menteurs de tous bords ( dénoncé par ce me teur professionnel, ce " fils de pub " qu'est Jacques Segala ). Le fait que les hommes politiques mentent, que la corruption et la manipulations se retrouvent dans toute cette " classe politique ", à tous les niveaux, n'a rien de nouveau. Il n'y a qu'à voir comment Charles Pascua, finalement condamné dans une sordide affaire de trafic d'armes pour l'Angola, vieille de nombreuses années, " balance " des hommes politiques de premier plan, comme Chirac et de Villepin.
Tout cela a toujours existé. Simplement, aujourd'hui, les choses se savent. La moindre information, la moindre fuite fait N fois le tour de la planète en quelques jours. Dites vous bien que s'il n'y avait pas Internet, il y a longtemps que le matraquage médiatique, relayé par des médias sous le contrôle des puissances d'argent et peut être même de puissances occultes plus dangereuses encore vous aurait complètement lessivé la cervelle.
Il est fort possible que des monstruosités soient en gestation. Je collabore actuellement à une étude sur des faits d'histoire, sur la façon dont des manipulations absolument machiavéliques ont été ourdies pour déclencher des guerres, écraser des masses de gens, créer des chaos planétaires. Tout cela n'est pas nouveau. Le public découvre l'expression " opérations sous fausse bannière ". Un thème vaste. Savez vous, par exemple, comment les Nazis ont justifié leur invasion de la Pologne, le premier septembre 1939, après s'être assurés de la complicité (momentanée) de leurs dangereux voisins, à L'Est, l'URSS, grâce au pacte germano-soviétique, passé ... une semaine plus tôt, le 23 août 1939 ! Les Nazis ont simulé une attaque de " terroristes Polonais ", sur leur station radio de Gleiwitz ( allez voir sur Wikipedia, " l'opération Himmler " ). Ces " terroristes " ont investi cette station, située dans les Sudètes, en Silésie, dans une région, artificiellement ajoutée à l'Allemagne par le traité de Versailles où cohabitaient des germanophones et des polandophones ( parlant polonais ). Un message en polonais, pré-enregistré, fut diffusé pendant un bref moment, appelant les Polonais résidant en Silésie à se révolter et à abattre le régime hitlérien. Mais les forces de l'ordre allemandes intervinrent aussitôt et réduisirent ces " terroristes " au silence. Les corps de ces hommes, revêtus d'uniformes polonais et truffés de balles, furent montrés à la presse ( allemande ). Le lendemain les troupes hitlériennes, fortes de ce prétexte, envahissaient l'ouest de la Pologne, pendant que leur complice, à L'Est, Staline, faisait de même "pour protéger les Polonais du nazisme " ( ! ...).
En vérité, ces hommes, tués par balles, n'étaient pas plus Polonais que vous et moi. Ils avaient été amenés sur place, préalablement tués par injections, avant que la mise en scène ne soit constituée et que les corps criblés de balles ne soient photographiés et présentés à la presse allamande. Tout cela est avéré, prouvé ( par les aveux de Naujoks, organisateur de cette " opération Himmler ", sur ordre de Heydrich, au procès de Nuremberg ). Une superbe opération sous fausse bannière, qui constitua le top départ de la ... II° guerre mondiale.
Ca ne vous rappelle pas un peu le déclenchement de la guerre en Irak ?
Dans la vidéo ci-dessus, le ministre de la santé Roselyne Bachelot met le paquet, martèle les phrases, et étale des mensonges éhontés, sans le moindre complexe. Le vaccin est sûr, il a été testé, etc.... alors que de plus en plus de gens savent que c'est une foutaise, qu'il y a derrière tout cela une histoire de gros sous, et peut être bien pire encore. Elle tente, en montant en épingle le moindre décès, sans produire de chiffres comparatifs ( vis à vis des 2000 à 3500 décès annuels de la grippe saisonnière ) de refaire un coup qui semble avoir fort bien marché au Québec, où les médias ont montré le cas d'un pauvre enfant victime du H1N1, alors que l'autopsie a montré quelques jours plus tard que l'enfant était décédé d'une méningite.
Une maladie extrêmement grave, irréversible
Quand j'étais en Allemagne, pour le colloque de Brème, a éclaté un scandale, les citoyens allemands découvrant qu'un lot d'un millions de doses de vaccins, sans adjuvants, avait été prévu pour les responsables politiques, les militaires, les fonctionnaires de haut rang. Un scandale qu'Angela Merkel a essayé de faire taire en disant " qu'elle se ferait, elle, vacciner avec le vaccin de monsieur tout le monde ".
Aujourd'hui " où placer le " curseur " ? De nos jours, là est la bonne question. Quelque chose est à l'oeuvre, mais quoi ? Dans quel but ? Ce " nouvel Ordre Mondial ", dont beaucoup d'hommes politiques n'hésitent pas à parler, c'est quoi ? A quelle sauce projette-t-on de nous accommoder ? Quelles nouvelles opérations sous fausse bannière va-t-on mettre en oeuvre ? Des monstres iraient-ils jusqu'à répandre des armes bactériologioques, parfaitement au point de longue date, pour que le plan à échelle planétaire puisse être mené à bien ? Après l'Ukraine, l'Autriche ? Et pourquoi pas la France, gouvernée par un pantin
Qui en France, a encore confiance en ce homme, en ce comédien de talent ?
Ce que j'avais présenté en 2005 comme " un gag " recouvrirait-il une ... réalité ?
Allez jeter un oeil à cette page d'il y a quatre ans. Comme disait Ionesco dans la " cantatrice chauve " :
Comme c'est bizarre, comme c'est étrange et quelle coïncidence !
Je pense que cette question devient aujourd'hui incontourable. On est obligé de revenir sur les alarmes des années précédentes, sur les centaines de camps mis en place par la FEMA aux Etat-Unis, sur les piles de cercueils, visibles depuis des satellites, également acquis par ce service américain de gestion des situations d'urgence ( Federal Emergency Management Agency ). Les photos datent d'un an pile.
Les centaines de milliers de cercueils stockés aux Etats Unis par la FEMA
( Photo novembre 2008 )
Quelle ... prévoyance !
La peur s'installe. Les gens ont peur, et ils ont raison. Comment se fait-il que ce " brave Obama " ait déclaré l'état d'urgence dès que la grippe ait tué mille personnes aux Etats Unis, alors que la grippe saisonnière en tue chaque année de dix à quinze mille aux Etats-Unis ? Pour qui roule ce nouvel élu, bombardé à la hâte prix Nobel de la paix, avant d'avoir fait quoi que ce soit....? Que se passe-t-il en Ukraine d'où nous parviennent des nouvelles similaires et où, cette fois, c'est une affection s'apparentant plus à une peste pulmonaire qui y a fait son apparition, et cela après que d'étranges épandages semblent avoir eu lieu au dessus des villes ? Comment se fait-il qu'on assiste à une dramatisation d'un phénomène grippal dans l'hémisphère nord, alors qu'il s'est manifesté de la manière la plus banale dans l'hémisphère sud ?
Pourquoi ce forcing hystérique, dont Bachelot se fait le vecteur ? Est-ce pour réussir à caser ce milliard d'euros de vaccins, pour éviter une boulette monstrueuse, ou ... autre chose ? Pourquoi cette apparition d'un phénomène grippal " dramatisé " ou " dramatique " avait-elle été annoncée bien des années à l'avance par différents médias. Je cite, dans le lot un article paru dans ce " tabloïd " anglais qu'est le Sun, papiers de 1989 passé à l'époque complètement inaperçu.
Les révélations du journal le SUN, dans son numéro du premier août 1989
Traduction : Un plan secret pour " taguer " chaque homme, femme ou enfant, à travers une opération de vaccination.
Le 1er août 1989, le journal britannique "The Sun" a publié un article intitulé "Big Brother est à venir" Un article qui révèle les plans secrets du gouvernement, d'établir la vaccination obligatoire de toute la société, de sorte que chacun ait une micro puce implantable (ou NanoChip).
Le bulletin dit ce qui suit :
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Je peux témoigner du fait que j'avais été personnellement averti de ce plan, par une source résolument " exotique ", dès 2005 et que le message précisait explicitement la souche H1N1
8 novembre 2009. AFP :
"Nous savons que les sociétés qui offrent les vaccins contre la grippe H1N1 ne veulent pas prendre la responsabilité des effets secondaires de ce vaccin", a déclaré Tusk à la presse. "Elles refusent de les mettre sur le marché, parce que leur responsabilité juridique serait alors plus grande. Elles demandent des clauses qui ne sont probablement pas conformes à la législation polonaise, et qui rejettent toute la responsabilité sur le gouvernement d'un pays en ce qui concerne les effets secondaires et des indemnisations éventuelles,", a-t-il ajouté. La Pologne refuse pour l'instant d'acheter des vaccins contre la grippe H1N1, estimant qu'ils n'ont pas encore été suffisamment testés par les autorités médicales. |
19 Octobre 2009
Probablement assez proche de la réalité ( cliquer sur l'image pour voir la vidéo )
17 Octobre 2009
Sondage Nice-Matin de ce jour : Envisagent de se faire vacciner : 14 %
Refuseront la vaccination : 86 %
Dans un article publié le 15 octobre, le journal Libération a publié un article qui fera date, et sur lequel on aimerait avoir plus de détails, sur le plan technique. Voici le lien correspondant :
et, pour plus de sûreté, voici le copie d'écran correspondante :
Dans une page précédente j'avais fait figurer un dessin comportant un curseur. On suggérait au lecteur de le positionner, selon sa sensibilité du moment. A l'extrême gauche, le télespectateur libéré de toute inquiétude, s'endormant après avoir dégusté son journal télévisé. Et à droite, l'internaute anxieux, paranoïaque qui, après avoir consulté maints sites conspirationnistes, entreprend, après s'être acheté un casque et un masque à gaz, de se construire un abri anti-atomique, anti-radiation, anti-tout.
Où placer le curseur ?
L'article de Libération incite à procéder à un déplacement vers la droite, assez sensible.
Nous allons reprendre le texte de l'article, point par
point.
Des élèves
équipés de puces pour pister le virus H1N1
SANTÉ - Qu'y a-t-il de mieux pour un virus, disons au hasard de type H1N1, qui veut se propager le plus rapidement possible ? Quel est l'endroit où l'on se touche les uns les autres en permanence, où l'on se fout de savoir si c'est poli ou pas de postillonner sur son interlocuteur, où l'on se prête allègrement ses mouchoirs et ses bonnets ? L'école, bien évidemment (même s'il y avait aussi le stade de foot en réponse b). D'où l'idée de plusieurs scientifiques lyonnais de calculer les probabilités de propagations d'un virus en répertoriant et analysant tous les contacts des enfants d'une même école entre eux. Durant deux jours, une équipe de physiciens et médecins ont équipé de puces électroniques 241 élèves et 10 institutrices d'une école primaire et enregistrés leurs moindres interactions… Ces puces, qui sont en fait des badges RFID (permettant la radio-identification), ont été placés par un cordon sur la poitrine des enfants, et ont enregistré tous leurs contacts proches. Ces puces, que vous aurez, ou que vous avez déjà, dans le savoir, sur vos nouveaux papiers d'identité, sur vos cartes professionnelles, sur des produits achetés en grande surface, sur ... n'importe quoi. RFID, vous savez ce que cela signifie : " Radio Frequency Identification Device " : système permettant l'identification par radio fréquence. Le système permet non seulement l'identifiaction du porteur, mais sa géologalisation ( en attendant de multiples autres fonctions ). Nous en avons sur nos planeurs. Ils transmettent, via un système GPS ( Ground Positining System : Système de positionnement par rapport au sol ) la position de l'appareil, via un système satellitaire. La trajectoire est enregistrée. Dans les planeurs on les utilise en tant que système anti-collision. Tout ces données sont centralisées. Où ? Bonne question. Toujours est-il que si deux planeurs A et B sont à une distance inférieure à x kilomètres, " le système " leur envoie à chacun un signal qui leur signale la présence de l'autre appareil. Un affichage asez sommaire permet d'indiquer au pilote la position relative de ce voisin : droit devant, à droite, à gauche, derrière, ou dans des direction intermédiaires disposées à 45°. Une petite diode rouge s'allume, assortie d'un signal sonore, qui indique dans quelle direction regarder. Ce système porte un nom : Ci-après, ce que le pilote de planeur a en face de lui :
L'indicateur du système anti-collision Flarm, qui équipe actuellement 13.000 machines volantes.
Là, il indique au pilote qu'un appareil muni du même système se trouve à une distance 0,3 ( je n'ai pas en tête l'unité de distance ). Le point rouge lui indique dans quelle direction regarder. C'est l'illustration du principe de radio-localisation par RFID. En fin de journée il est possible, en utilisant un ordinateur et en se connectant sur Internet de voir s'afficher toutes les trajectoires des planeurs, ou de toute machine portant un tel appareil. C'est très précis et spectaculaire. On sait ainsi très précisément jusqu'où est allé Machin, si le circuit qu'il prétend avoir fait correspond bien à ses dires (en cas de compétition). Remplacez ces Flarm par des puces RFID. A tout moment elle vous permettront de savoir qui est où. Sur une tranche donnée de temps, on pourra obtenir sur un écran les trajectoires de tous les individus pucés. Dans l'article de Libération, on a voulu faire la démonstration de l'utilité de ces dispositifs pour compter le nombre de rencontres entre élèves, dans l'optique d'une contagion par un virus. Quelle précaution louable ! Là, les élèves étaient prévenus et portaient ce bardge autour de leur cou. Au bout de deux jours, on a pu d'un clic de souris sélectionner un élève donné, voir s'afficher sa trajectoire et, à la demande, connaître le lieux et heures où il s'est trouvé positionné à une distance donnée d'un autre élève. Plus l'ordinateur a effectué un comptage de ces rencontres. Reprenons le texte du journal : Interactions suffisamment proches pour être susceptibles de faire passer, donc, des virus de type H1N1 (mais ça marche pour tout : gastroentérites, grippes normales…). Sur un écran, des constellations de points et de vecteurs dessinent les trajectoires et les impacts des enfants. Bilan : 11.0000 contacts en deux jours. L'article évoque une autre expérience qui avait été conduite lors d'un congrès : Par comparaison, un test similaire effectué récemment lors d'un congrès de 1.200 personnes sur une journée avait enregistré 15.000 contacts. Question : où étaient les RFID des congressistes ? Dans les badges qu'ils fixent sur leur revers de veste ou sur la pochette de leur chemise, indiquant leur nom. On parle de 1200 congressistes. Ces gens étaient-ils au courant qu'il participaient à une telle expérience et qu'on allait pouvoir suivre et enregistrer leurs moindres déplacements et rencontres ? Percevez vous, à travers cette expérience présentée comme anodine et utile (montrer que l'école est un véritable bouillon de culture) l'atteinte aux libertés individuelles ? Vous savez maintenant que des RFID, des "puces" peuvent avoir des dimensions infimes, micrométriques (quatre centièmes de millimètre). Dans l'expérience évoquée, on a très bien pu loger ces puces dans le bout de plastique servant de support au carton indiquant le nom de la personne. Mieux encore, on peut, les puces pouvant être dotées d'une mémoire, inscrire le nom de la personne dans la mémoire de celle-ci. Son nom, et une quantité illimitée de renseignements le concernant, cela à son insu. On imagine très bien les multiples intérêts de l'opération. Imaginons une rencontre à caractère scientifique ou industriel, voire intéressant la défense nationale. Qui a rencontré qui, combien de temps ? Vous cherchez Big Brother ? Le voilà. Au passage il sera possible de savoir que le professeur Untel a passé la nuit dans la chambre de la secrétaire d'un collègue, ou qu'il souffre apparemment d'incontinence d'urine, ou qu'il s'est installé à chaque fois sur une console d'ordinateur pour communiquer avec (on le saura également) après avoir rencontré les représentants de .... etc. Quand vous vous rendrez dans un lieu quelconque, où on vous imposera de porter un badge, comment pourrez vous savoir si celui-ci n'est pas porter d'une puce totalement invisible ? (on vendra rapidement des sortes de mini-fours à micro-ondes où on pourra, en y glissant son badge, griller la puce qu'il contiendrait éventuellement). Revenons au texte de l'article : A la base, ces badges Rfid étaient utilisés par le physicien Jean-François Pinton, directeur du labo de physique de l'ENS de Lyon, pour des études sur la dynamique des fluides. Pour le moment le physicien Jean-François Pinton utilise au laboratoire de Physique de l'Ecole Normale Supérieure de Lyon pour la mécanique des fluides un traceur d'assez grande taille. Dans cette disciplines on aime à connaître les " lignes de courant ", les trajectoires suivies par des particules d'un fluide en mouvement. Dans sa publication on voit la restitution de l'enregistrement, c'est à dire l'enregistrement de la trajectoire de sa puce-marqueur. Classiquement, pour visualiser le comportement d'un fluide, on utilise un colorant non miscible. Ci-après, une photo d'une expérience que nous avions faite en 1975, Viton et moi, montrant l'entraînement d'eau acidulée par un " accélérateur MHD cylindrique ". Maurice avait disposé sur une réglette, située hors champ, en haut, des grains de colorants qui se dissolvaient dans l'eau. D'où le cliché ci-après :
Le traceur de Pinton reste primitif, comme l'étaient les " puces grain de riz de 2005 " ( celles qu'on a montré au grand public ). Mais dans peu d'années des puces de très petite taille remplaceront de telles antiquités. Voir le saut phénoménal entre les " puces grain de riz de 2005 et les nouvelles puces japonaises, quatre ans plus tard, plus fines qu'un cheveu. Bientôt le mécanicien des fluides, lorsqu'il étudiera des écoulements dans des liquides ou dans des gaz, ne s'embarrassera plus d'une technique aussi primitive et salissante que l'adjonction de colorants. Il lui suffira de mélanger à son fluide des puces de même densité. Il fera son expérience, l'ordinateur enregistrera les trajectoires de chacune de ces milliers ou dizaines de milliers de puces. Puis il pourra afficher leurs trajectoires, déceler des détails infimes, la naissance de vortex, d'une turbulence. Même chose dans l'air, avec des " puces ", cette fois aussi légères que des particules de poussière, dont vous avez vu maintenant qu'elles existent bel et bien. Il y a donc belle lurette qu'il est possible de loger, de manière indétectable, des puces dans n'importe quel objet, y compris ceux qui vous accompagnent en permanence, comme vos lunettes, votre appareil dentaire, votre montre, votre portefeuille, sans que puissiez constater la présence d'un tel objet. Nous sommes entrés dans l'ère de la puce, inexorablement. A ce stade, vous aurez toujours la possiblité d'échapper à ce pistage en vous désaissant de ces objets. Mais il reste un véhicule dont vous ne pourrez plus vous débarrasser :
Votre corps
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Je suis convaincu maintenant que l'implantation de puces microscopiques, invisibles, par le biais d'une injection est la clé de cette opération de vaccination à une échelle planétaire. Le problème de l'alimentation en énergie de ces micro-gadgets n'en est pas un. Modulo la nano technologie, ces systèmes peuvent utiliser l'énergie du corps, ou une foule d'autres énergies. Je me souviens d'une pendule qui, il y a trente ans, fonctionnait parfaitement en exploitant les variations de .. la pression atmosphérique. Vous rappelez vous ces montres automatique, qui se remontaient avec un balancier, au gré du mouvement du bras ?
J'avais été averti de l'existence d'un tel projet, d'injection de micro-puces à travers une vaste opération de vaccination, il y a sept ans. Pour réaliser une telle opération à une échelle planétaire il fallait envisager une opération de vaccination " pandémique ", contre un virus capable de s'étendre à la planète toute entière. Le grippe faisait l'affaire. C'était même le seul candidat, semble-t-il. La grippe saisonnière est une affection intrinsèquement pandémique. Il n'y a qu'un seul problème : c'est une affection qui reste bénigne.
Il fallait donc lui attacher une connotation dramatique, quitte à utiliser des virus bricolés en laboratoire, à fort taux de létalité, mais quand même pas trop contaminants, pour ne pas que cette arme bactériologique retombe sur la tête de ceuxi qui la mettent en oeuvre.
Que le virus de la grippe aviaire H5N1 soit naturel, ou fabriqué, il a permis de créer ce climat d'inquiétude, alors qu'en quatre ans les nombre total des morts n'a pas excédé quelques centaines. Il y avait de par le monde bien d'autres affections mortelles, épidémies de toutes sortes, dont on aurait pu parler.
Mais il fallait que ce soit la grippe.
Dans les fait, tout cela a été médiatiquement orchestré à son de trompe. En Autriche, la journaliste Jane Burgermeister a trouvé étrange que la société américaine Baxter "perde " 72 kilos du virus de la grippe aviaire H5N1, mortel dans soixante pour cent des cas. Etrange également que ce virus se soit trouvé mélangé "par erreur" dans des doses de vaccins expérimental " atterrissant chez un sous-traitant tchécoslovaque, qui eut l'idée de l'essayer sur des furets. Tous décédèrent. L'entreprise s'excusa, en évoquant une " erreur de manipulation ".
Est-ce le cas ? Ne serait-ce pas, comme le suggère Jane Burgermeister une substance "starter ", laquelle, diffusée au sein des populations, et provoquant une vague de décès, permettrait de créer une panique, amenant des milliards d'individus à se précipiter vers les seringues. Un nombre de décès contrôlable à volonté, puisque le H5N1 n'est pas contagieux d'être humain à être humain.
Si ce plan avait démarré dans les pays de l'hémisphère sud, il aurait fonctionné sans le moindre raté. L'OMS aurait conclu à l'apparition d'une pandémie grippale exceptionnellement dangereuse, à " taux de létalité élevé " et la vaccination aurait alors pu être imposée à l'ensemble de la population de la planète.
Joli coup
Pas de chance : le caractère bénin du H1N1, dans les pays de l'hémisphère sud, qui sont tous en train d'émerger de cette vague grippale, puisque chez eux, s'achève la saison printannière, a rendu difficile la création d'un état d'urgence, dans l'hémisphère nord, en dépit d'une immense opération d'intox, relayée par les médias, les hommes politiques et les soit-disant experts.
On sait déjà que les vaccins proposés ne sont pas exempts de risque de dommages importants au plan santé, à cause de ces fameux adjuvants. Mais déjà, les experts ( comme le docteur Floret ) nous disent qu'on disposera bientôt de vaccins sans adjuvants. Il faut à tout prix que les gens acceptent de recevoir ces vaccins.
Le professeur Daniel Floret
Que conclure ?
Cette vaccination n'est nullement nécessaire, et encore moins urgente. Par contre, s'il existe un risque que des micro-puces soient mêlées à ces substances, dont votre corps ne pourra alors plus jamais se débarraser, alors le simple principe de précaution conseillerait de s'abstenir.
A moins que vous ne considériez ce discours que comme une nième version de la " théorie du complot ". Auquel cas, ignorez cet avertissement et courrez vous faire vacciner. Avec de la chance, vous passerez peut être à la télévision, au journal de vingt heures. Mais sachez que si ces puces sont présentes dans ces susbstances injectées, vous les conserverez à l'intérieur de votre corps, à vie, et nulle action ne vous permettra de les rendre inactives.
Il est donc techniquement possible de loger des micro-puces dans le vaccin, en suspension, voire dans des seringues. Que se passera-t-il si un jour des gens possédant des moyens d'analyse appropriés détectent dans des échantillons de vaccin, ou dans des seringues, la présence de puces, dont la structure pourra être mise en évidence à l'aide d'un scanner au microscope électronique. Là ça n'est pas une course à la vaccination à laquelle on assisterait, mais l'inverse : une méfiance généralisée vis à vis de toute injection !
Un jour peut être des objets comme les antiques seringues en verre, non jetables, qu'on peut stériliser dans de l'eau bouillante, deviendront des objets qu'on s'arrachera à prix d'or. On aura le réflexe de filtrer, à l'aide d'un filtre en papier bien propre, toute substance injectable ( les filtres en papier retiennent les objets ayant des dimensions supérieures à 200 nanomètres, 0,2 millièmes de millimètre. Efficace vis à vis des micro-puces actuelles.
Mais on ne pourra évidemment rien filtrer, si les substances injectées sont dans des flacons " multidoses ", ce qui rendra leur contenu impossible à analyser. Sans pour ceux qui seront les acteurs de ces opérations.
On a l'impression de vivre dans une film de Science Fiction. Mais l'idée que les attentats du 11 septembre 2001, dont maintenant plus de la moitié de la population de la planète croît qu'il s'agit d'une machination savamment préparée, nous plonge déjà dans ce climat délétère. Il restera à remonter vers ses auteurs et le principe " Is fecit cui prodest " ( celui qui l'a fait, c'est celui à qui cela profite ) peut orienter les investigations. Si, ce que nous croyons, on a délibérément tué 3000 citoyens américains dans le but de justifier les invasions de l'Afghanistan et de l'Irak, la main mise sur des ressources pétrolières, fut une opération menée " sous fausse bannière " ( en faisant porter le chapeau aux islamistes ), alors ces mêmes gens sont totalement capables de mettre en oeuvre un plan de contrôle des êtres humains à l'échelle planétaire. C'est là que le curseur s'envole vers la droite.
Mais alors, qui ?
L'histoire actuelle se déroule-t-elle au gré de ses propres instabilités où serait-t-elle " pilotée " par des groupes relativement restreints ? Pourquoi cette idée s'étend-t-elle comme une flaque d'huile à travers la monde ? Quelle sorte d'histoire vivons-nous ?
16 Octobre 2009
Voici la plainte qu'ont déposé en référé, hier, des centaines de citoyens belges contre l'état belge qui représente une forme de réponse aux déclarations " "clairantes " fournies " au public " (très restreint ) par le groupe d'experts français menés par le professeur Denis Houssin le 9 octobre 2009. . Parmi ceux qui ont formulé cette plante, des médecins, qui jouent le rôle de leaders dans cette action, qui fait suite à la plainte déposée par l'Autrichienne Jane Burgermeïster et à une plainte déposée au parquet de Nice.
Il est devenu inutile " d'écrire aux journaux ", d'en appeler à la liberté de la presse. Il y a belle lurette que celle-ci a cessé d'être libre et ne fait plus que servir les intérêts des groupes financiers dont elles font parties ( le groupe Lagardère, etc ). Inutile de cherche " à passer à la télévision ", de recherche de l'aide auprès des grands médias, devenis des abrutissoirs, l'expression de toutes les incompétences (voir le face à face entre Paule Amar et Jean-Marie Bigard), voire celle de toutes les complicités. Il ne reste plus ... qu'Internet, notre premier et notre dernier espace de liberté d'expressions et de contact direct, notre premier et dernier espace de démocratie réelle.
Ca n'est plus le temps de prendre des banderolles pour manifester dans les rues en scandant " non à cette action de manifestation menée par des irresponsables, des complices et des corrompus ", pour se faire tazer, gazer, assourdir, aveugler par ces " forces de l'ordre ", embastiller, mis en quarantaines, enlever dans des camps, par nos modernes Dark Vador modernes portant masques, pour ne pas, ultérieurement être reconnus par la foule de leurs victimes et lynchés. Des hommes qui, selon les termes de la constitution européenne, ont le droit d'ouvrir le feu sur une manifestation " si celle-ci vire à l'émeute ".
C'est curieux. On proteste parce contre le port de la burka, par les femmes ( et je suis contre, je le précise ) mais on trouvera rapidement normal que les policiers évoluent sous nos yeux masqués, au lieu d'agir à visage découvert. Votre futur, immédiat, vous l'avez sous vos yeux :
Un jour, partout dans le monden ces Dark Vador opérant masqués, puis rentrant tout tranquillement à la maison. Vos ... futurs voisins de palier.
Vous avez sous les yeux l'exemple des premières cyber-manifestations, sur la toile. Des hommes, des femmes de bonne volonté, portent plainte, de manière parfaitement légale et justifiée. Ils se battent pour vous. Il ne manque plus qu'un sondage, quelque part. Des lecteurs me pressent d'en installer un sur cette page. Agoravox ( " la voix de la place publique " ), très visité, serait peut être mieux indiqué pour une telle action, et si quelqu'un reproduisait sur ce site la plainte de ces Belges, je pourrais envoyer mes lecteurs vers cette page pour qu'ils joignent leurs protestations aux leurs.
Vous avez entre vos mains un pouvoir fantastique et vous l'ignorez.
Internautes de tous pays, unissez-vous !
Faites échouer ces combines sordides, criminelles, mues par la cupidité, l'incompétence et l'irresponsabilité. Et peut être bien pire encore. Combines cautionnées par des soit-disant " experts ", bredouillants, mal à l'aise, craignant que l'on découvre leurs accointances financières avec les grands trusts pharmaceutiques.
Un internaute demande à un directeur d'établissement scolaire de lui signer un papier selon lequel, si une unité mobile de vaccination se présentait dans celui-ci pour vacciner son enfant, il le préviendrait aussitôt. Ce directeur consulte sa hiérarchie, qui lui répond " vous n'avez pas à signer ce papier ". Alors l'internaute réitère sa demande en recommandé avec accusé de réception. Qu'elle sera la réponse ? Logiquement, si ce directeur refuse une nouvelle fois de signer, cette demande devra suivre la voie hiérarchique, sous forme d'une plainte adressée au rectorat, et si le rectorat ouvre à son tour le parapluie, c'est le ministre de l'Education Nationale qui devra répondre. Et s'il élude lui aussi la demande légitime de ce père, qui refuse que son enfant serve de cobaye dans une opération, certes profitable pour l'industrie pharmaceutique, mais dangereuse pour sa santé, l'issue logique sera une plainte déposée en justice, pour " mise en danger d'une personne ". A moins que le Ministre de l'Education Nationale tente de se défosser à son tour de cette requête sur la Ministre de la (santé ?) publique, Roselyne Bachelot. Auquel cas, si elle-même décide de couvrir ce refus de signer le document adressé par ce parent d'élève, c'est contre celle-là que la plainte devra être dirigée.
Parents, si vous n'êtes pas d'accord pour que vos enfants soient vaccinés, adressez des lettres aux directeurs des établissement scolaires et exigez des réponses.