11 septembre : Christine Boutin parle

8 septembre 2007

christine_boutin

Christine Boutin. Aujourd'hui ministre du logement et de la Ville

http://www.dailymotion.com/video/x2ghbc_la-ministre-boutin-et-le-11-septemb

 

Christine Boutin est actuellement investie de responsabilités politiques. Elle est ministre dans le gouvernement français. Dailymotion reproduit cette interview que vous avez, j'espère écoutée en cliquant sur le lien. Le commentaire de cette bande en profite pour annoncer que "pour la première fois un responsable politique parle". Mais d'autres objectent aussitôt ( je n'ai pas eu de précisions sur ce point ) Madame Boutin n'était pas encore ministre quand elle a donné cette interview à Carl Zéro, qu'on voit en arrière-plan. Mais à la limite, qu'est-ce que ça change à la teneur de la réponse ? Rien.

On sait que tousles ministres sont astreints au devoir de réserve. Il ne peuvent exprimer d'opinions personnelles qui ne s'intégreraient pas dans la ligne générale, défiinie chaque jour en Conseil des Mihnistres. En son temps Jean-Jacques Servan Schreiber, nommé Ministre au temps deMitterand fut viré très rapidement pour ne pas l'avoir compris, ou ne pas avoir voulu le comprendre. La phrase de Madame Boutin montre que dans tous les milieux on s'interroge.

Cela montre aussi que dans tous les milieux, y compris dans les milieux politiques on tente de s'informer en sortant de la presse classique. En avril 2004 la chaîne Arte avait sorti un document intitulé " Le 11 septembre n'a pas eu lieu ". Je souhaite vivement que l'intégralité de cette émission soit accessible dans des structures comme Youtube ou Dailymotion. J'ai regardé une nouvelle fois la copie que j'avais conservée. Ce document est accablant, concernant la position de la grande presse. Patrice Lecomte, présentateur-aboyeur, commençait cette émission en disant "qu'on allait nous présenter quelque chose d'énorme, un mensonge effarant". Suivait une mise en accusationen règle de Thierry Meyssan, accusé de s'être empli les poches avec ses livres, comme le "Pentagate". Tous le clouèrent au pilori . Toute l'émission était une démolition organisée du type, qui a eu, rappelons-le, un sacré courage de se lancer le premier, et complètement seul dans cette opération où il risquait sa vie. Je veux que mes lecteurs, et les téléspectateurs revoient cete émission ( dans son intégralité, et non simplement le dossier monté par Vidkine, qui va être rediffusé bientôt ) pour qu'ils puissent comprendre comment fonctionne " la Grande Presse ". Sur le plateau, deux de ses plus éminents représentant. Un journaliste Allemand, du Spiegel et Philippe Val, rédateur en chef de Charlie Hebdo.

L'Allemand :

- Meyssan en est arrivé à ces conclusions parce qu'il n'a pas vérifié ses sources. Il m'a suffi de deux coups de téléphone pour être fixé (...)

Le discours de Philippe Val est de la même eau. La conclusion générale de ce procès en règle, où on s'était bien gardé d'inviter l'accusé, qui aurait pu au moins se défendre, était "qu'il fallait laisser la presse des professionnels faire son travail et non suivre les ragots colportés par des non-professionnel".

Je serais à la place de Philippe Val je serais aujourd'hui " très mal ". Il semble bien que l'émission ait été mise en ligne sur Dailymotion je crois, mais avec de très larges coupures. Il conviendrait de mettre la version intégrale en ligne. Qui a fait ces coupures, et pourquoi ? ( Les interventions des deux journalistes disparaissent, entre autre ). Il subsiste les propos déshonorants et complaisants de Pierre Lagrange, sur lequel nous n'avons plus la moindre illusion à nous faire.

Dans tous les cas de figure il faut laisser aux gens le soin de se forger leur propre opinion, en mettant à leur disposition le maximum d'éléments, non tronqués, non manipulés, " traçables ". L'émission d'Arte de 2004 est un document lourd. Je ne pense pas qu'il révèle une collusion de la presse. Je ne crois pas qu'on ait fait pression sur ces gens pour qu'ils tiennent de tels discours. Ca n'a pas été nécessaire. A la limite, c'est pire. Cette émission révèle :

- Le manque de conscience professionnelle de ces journalistes de premier plan
- Leur incompétence

Vous jugerez quand tout cela sera disponible. Il est aussi un fait. Pas un journaliste, par un organe de presse n'organisera un débat ( en télé ou en radio ) en mettant des gens comme Philippe Val face à leurs propres déclarations de 2004, en leur disant " maintenez-vous tout ce que vous avez dit à l'époque ? ". Quand on revoit ces images, qu'on ré-entend ces phrases, on se dit qu'il est non seulement bon qu'il existe une web-presse, mais que c'est indispensable, que c'est l'expression même de la démocratie. Sans cette presse parallèle, voilà ce qu'on vous mettrait dans la tête.

J'essaye d'informer tant que je le peux. Dans des domaines comme l'aéronautique, les dossiers militaires et certains domaines de la science où j'ai quelque compétences, je fais de mon mieux. Ce faisant, je réalise l'insuffisance du milieu des journalistes scientifiques. Beaucoup sont simplement ... incompétents.

Je me rappelle de l'échange que j'avais eu avec Larousserie, un jeune "journaliste scientifique " travaillant pour la revue Science et Avenir, qui avait sorti un papier sur " les torpilles à cavitation ". Je lui avais demandé à l'époque comment ces torpilles pouvaient vaporiser l'eau de mer sur leur passage. Réponse :

- Cela se crée tout seul, par cavitation. C'est une question de vitesse (...). Quand celle-ci est suffisante, le phénomène de cavitation démarre et l'objet est entouré de vapeur d'eau.

Non, les "torpilles à cavitation " vaporisent l'eau de mer à leur pointe en éjectant un gaz produit par une fusée. La contre-poussée de cette fusée est très infénieure à la fusée propulsive principale. Cette émission de gaz chaud, vers l'avant, ne sert qu'à vaporiser l'eau et la torpille file alors dans cette gaîne de vapeur d'eau, qui crée une traînée de frottement bien inférieure à celle de l'eau à l'état liquide. Cette technique existe depuis 30 ans et plus. C'est la torpille " Sqwal " russe et la " Supercav " américaine. Vous savez sans doute que les Iraniens en possèdent ! Le Chinois les fabriquent " sous licence ".

Quand j'ai parlé de cet engin, les spécialistes français ne savaient même pas qu'il existait des torpilles propulsées par réaction.

L'incompétence est donc un trait courant dans le milieu des journalistes scientifiques, et pire encore dans le milieu des journalistes aérinautiques.

Les évènements du 11 septembre posent desproblèmes technico-scientifiques. Il ne s'agit pas de dire " je crois, je pense, l'ai l'impression que ..." . Pas un journaliste scientifique n'a abordé ce dossier, pas un. Mais un document vidéo diffusé dans cette web-presse parallèle a fortement ébranlé l'opinion américaine, ces derniers temps.

 

http://www.syti.net/Videos/Mysteres11Septembre.html

 

A la suite de la diffusion de ce document, un mouvement s'est dessiné dans l'opinion américaine, révélé par des sondages. Vous êtes peut être au courant des efforts déployés par ceux qui, aux USA militent pour que la procédure d'Impeachment soit mise en action contre le tandem Bush - Cheney. Rappelons que c'est cette même procédure qui avait entraîné la destitution du président Nixon, reconnu coupable d'avoir fait opérer des écoutes téléphoniques chez des parlementaires de l'équipe adverse. C'est la célèbre affaire du Watergate. En France une telle " affaire " ferait sourire. Aux USA cela a suffi pour faire tomber un président !

32 % des Américains se seraient déclarés favorables à l'application de cette procédure. Mais l'information est incomplète. Quand un sondage est opéré il faut donner le pourcentage de

- ceux qui sont pour
- ceux qui sont contre
- ceux qui n'ont pas d'opinion

Ces mêmes sondages ont donné un chiffre intéressant : 62 % des Américains pensent qu'on aurait dû effectuer une enquête plus sérieuse, suite à ces évènements.

Ces négligences, vous devez déjà en connaître une bonne partie. Je cite, en vrac :

- Les décombres des tours jumelles et de l'immeuble numéro 7 du WTC n'ont pas fait l'objet d'un examen sérieux. La feraille a été revendue au plus vite à un pays asiatique et a quitté le pays.
- Les décombres de l'aile du Pentagone qui avait été endommagée ont été déménagés 48 heures apreès l'évènement. Les travaux de renconstruction ont commencé immédiatement après.
- Personne n'a été autorisé à pénétrer dans le Pentagone pour constater les dégâts, photographier les débris de l'appareil, les corps des passagers. Confidentiel défense.

etc....

Ca n'est pas une enquête peu sérieuses, c'est une dissimulation complète, systématique, prigrammée et immédiate des pièces à conviction, en profitant du climat qui suivit, où toute l'attention se trouva focalisée sur " le terroristes" , " Al Quaïda " etc.

Les analyses présentées dans la vidéo ci-dessus émanant d'architectes spécialistes des démolitions contrôlées et constituent des apports importants. Je ne reprendrai pas tous ces arguments les uns après les autres, me contentant d'attirer l'attention du deux points. Regardez cette photographie d'une des tours juste au début de l'effondrement ( on rappelle que jamais des immeubles ne se sont effondrés de manière aussi spectaculaire, suite à des incendies qui durèrent souvent beaucoup plus longtemps ).

J'ai traité ces question à ma façon

 

drapeau_francais                                                  drapeau_anglais

 

explosion_tours

Une des tours, juste avant son implosion en dix secondes.

 

Les débris que vous apercevez sur les côtés sont des fragments de poutres pesant une tonne, et non des éléments d'un plancher. L'allure générale du nuage correspond à un phénomène explosif. Notez les volutes qui partent vers le haut.

Le second élément que j'ai sélectionné est irréfutable. Il s'agit d'une photographie prise dans les débris d'une des tours jumelles. On y découvre des poutres de fortes sections, tranchées net. Comment voulez-vous que ceci puisse être dû à un simple effondrement ?

 

poutres_coupees_net

Débris du World Trade Center : des poutres coupées net

 

Ces poutres coupées net, spécialement cette de l'arrière-plan, coupée à 45° sont un classique des démolitions contrôlées. On a recours à la technique de la charge creuse. Voir l'encadré ci-après :

 

 

Technique de la charge creuse

Il est nécessaire que j'explique ce phénomène essentiel, qui a fait l'objet de nombreuses applications, d'abord militaires puis civiles ( démolitions contrôlées)

Figure A :La masse d'explosif a la forme d'un cylindre comportant un évidement conique en contact avec un cone en métal, généralement en cuivre. L'explosif a une vitesse de détonation élevée. Ainsi, après mise à feu le cone de métal, soumis à une pression élevée, pratiquement uniforme est projeté vers l'axe à une vitesse de 10 km/s. Ce cone ( de métal vaporisé ) se tasse ainsi sur lui-même, mais en même temps sécrète un "dard" de plasma métallique, dense et projeté à très grande vitesse. C'est ce dard qui est à même de percer le blindage des chars. On considère qu'on peu percer un blindage dont l'épaisseur est égale au diamètre de la roquette. Ce dard injecte un plasma à haute température dans le char qui tue ses occupant en ne laissant qu'un trou d'un cm de diamètre.

Figure B :On peut employer une technique analogue en disposant deux plaques d'explosif formant un dièdre ( angle 90° ). Après mise à feu, la surpression liée à l'explosion projette deux lamelles de métal l'une vers l'autre, selon le plan de symétrie du système.Il se forme un "couteau" fait de métal vaporisé projeté à 10 km/s, capable de cisailler des centimètres d'acier. Ce système est utilisé pour couper net des poutres, lors de démolitions contrôlées. La disposition à 45 % permet après cisaillement à la poutre de se dégager sur le côté. La présence de poutres coupées net dans les décombres des tours jumelles (photo ci-dessus) est la preuve irréfutable que ces effondrement ont été des démolitions contrôlées. Je suis effaré que mes collègues chercheurs et ingénieurs continuent à brandir un "prudent scepticisme". L'explication est la peur. Prendre conscience d'une telle action serait "trop horrible", non seulement pour des citoyens américains mais pour des ingénieurs français ou des chercheurs du Cnrs.

Figure C : On enroule le dièdre sur lui même et on obtient une charge creuse annulaire, qui permet de réaliser un emporte pièce, capable de couper net la tôle de 4 cm d'épaisseur d'un sous-marin. C'est ainsi que fut détruit le Kousk, par cette technique d'abordage et de tir au contact; qui permet d'éviter l'enregistrement de la trace sonore de la course d'une torpille. Cela peut alors passer pour un "accident". Vous ne trouverez mention de cela dans aucune revues technique ou scientifique, dans aucune revue militaire. A d'autres de rechercher l'explication de cet aveuglement ou incompétence.

 

charges_creuses

 

Trouverez-vous un journaliste, ou un journaliste scientifique qui ait examiné cette affaire sous cet angle ?

Vous pourrez vous poser la question :

- Mais comment des artificiers auraient-ils pu équiper aussi rapidement et sans se faire repérer trois immeubles de cette importance ?

Un détail que vous ignorez, mais que les constructeurs d'immeubles importants n'ont guère envie de crier sous tous les toîts. Figurez-vous que certaines constructions sont d'emblées équipées en vue de leur destruction future. Les raisons peuvent être diverses. L'une d'elle peut être de pouvoir détruire des documents "sensibles", en cas d'urgence. Par exemple ceux entreposés dans le bâtiment n° 7. Je tiens cette information d'un ingénieur suisse qui a participé à la construction de tunnels routiers et ferroviaires dans son pays. Il m'a dit :

- Chez nous, les tunnels sont équipés de charges d'auto-destruction qui permettraient éventuellement d'isoler complètement la Suisse, protégée par ses montagnes, en réduisant le nombre des points d'accès à interdire, face à une invasion.

Il est temps que nous passions par-dessus un scepticisme de principe, fondé sur des croyances du genre :

- Vous imaginez le nombre de personnes qui auraient dû être mises au courant ?

Un tel plan peut être négocié en fragmentant les tâches. Regardez comment fut organisée l'élimination des Juifs pendant la seconde guerre mondiale. Des milliers d'Allemands participèrent à l'opération, souvent à leur insu.

Je raconte une anecdote effroyable, extraite du livre " Treblinka ". Dans ce camp comme dans beaucoup d'autres les Juifs étaient amenés pour être gazés, incinérés, éliminés. Un jour la femme d'un officier allemand ... se trompa de train et atterrit dans le camp, avec les Juifs raflés. Elle dermanda à être reçue par le commandant. L'équipe chargée de gérer ce camp tint conseil. Cette femme savait trop de choses. Si on la laissait repartir elle " bavarderait ", n'étant pas à même de comprendre l'importance de la tâche entreprise, de la " solution finale "pour l'avenir du Reich . La décision fut vite prise :

- Gaze-là avec les autres. On ne peut pas prendre ce risque.

Dans un autre dossier je vous raconterai comment les chambres à gaz allemandes furent essayées à Issy-les-Moulineaux, en bordure sud de Paris, dans un bâtiment, aujourd'hui détruit, transformé en stand de tir. Les gens arrivaient directement des geôles des Nazis, rue Lauriston. On les gazait dans une petite salle, dans cet ensemble transformé en stand de tir. J'ai vu les traces des doigts de ces hommes et ces femmes qui tentaient de grimper aux murs pour échapper aux gaz, s'aggripant au grillage servant à fixer des plaque d'amiante jouant le rôle d'isolant sonore. Les corps étaient ensuite brûlés dans la centrale thermique d'Issy ( qui a aujourd'hui disparu, comme le stand de tir. Il ne reste qu'un monuement commémoratif, sur le boulevard ). Pendant l'opération on invitait les ouvriers à prendre une boisson chaude, au réfectoire. La puissance électrique baissait, parce qu'on ouvrait les portes des fours. Après, on enlevait les scories de ces fours, et celles-ci étaient amalgamées au bitume, pour entretenir les rues de Paris.

Les gens éliminés dans des chambres à gaz, puis grillés dans des fours, à Paris, les résistants, les indésirables, le Juifs, vous ... marchez dessus sans le savoir.

Revenant à ces opérations d'assassinats organisés par la suite sur une grande échelle. Ceux qui réalisent qu'ils avaient à leur insu été impliqués dans une telle monstruosité n'eurent guère envie de le crier sur tous les toîts. Il n'est pas sûr que Bush lui-même ait été mis au courant des détails "d'une opération de grande envergure qui se préparait ". Après, quand il a fait son discours au milieu des décombres, en compagnies des pompiers de la ville il était trop tard pour reculer. On peut se dire aussi que des gens qui ont été capables de programmer l'assassinat de 3000 personnes n'en sont plus à un mensonge près. Quand des gens demandent " mais que sont devenus les passagers des aviobns, s'ils n'étaient pas dans ceux qui ont frappé les tours ?". Quand on peut tuer de sang-froid 3000 personnes, va-t-on hésiter pour en faire disparaître une centaine ?

Dans n'importe quelle cour de justice, le cliché ci-dessus suffirait à déclencher un complément d'enquête et à faire condamner des responsables.

Les choses bougeront-elles ? On a parlé de rumeurs concernant le déclenchement d'un second attentat, tout aussi meutrier. Cela pourrait être par exemple une attaque bactériologique visant une grande ville des Etats-Unis, avec des coupables, vite trouvés ( et éventuellement vite assassinés, comme Lee Oswald, le "meurtrier " de Kennedy ). Techniquement, un "attentat" de ce genre pourrait tuer 100.000 personnes, créer une vague de panique. Ce second " attentat " réussirait-il à resserrer les rangs de la nation américaine autour de son président, comme la dernière fois, et à entraîner une adhésion pour une intervention contre l'Iran, par exemple ?

Il ne faut rien exclure. Le pouvoir, aux Etats-Unis, est passé entre les mains de fous dangereux, comme ce fut le cas cas quand l'Allemagne passa sous le contrôle des Nazis et qu'on conféra " les pleins pouvoirs " à un certain Hitler, qu'il conserva jusqu'à sa mort.

J'ai pris récemment conscience d'une situation qui m'a consterné. Que l'homme de la rue, ou le politique lise ce qui précède avec scepticisme, c'est envisageable, compréhensible. Ces gens pourraient dire à leur entourage

- Dites, ce que dit cet ... astrophysicien à propos de cet effet de charge creuse, ça tient debout ou c'est un peu de la fiction ?

Mais que des scientifiques, des ingénieurs, des .. mécaniciens des fluides, des chercheurs persistent dans une attitude .. indifférente, c'est moins acceptable. Ceci étant, les scientifiques, les ingénieurs sont des hommes comme les autres. Il sont, comme tout un chacun, tenaillés par quelque chose qui n'est rien d'autres que la peur. Peur de réaliser l'horreur de certains faits, quand le voile qui les recouvrait retombe soudain.

Allez lire cette page, que j'avais mise en ligne en 2006, faisant état de ces confidences du Délégué Général pour l'Algérie, sous les ordres directs de de Gaulle.

Source : ce numéro spécial de Science et Vie, passé totalement inaperçu

 

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Regardez la bande : " Révélation ". Il ne s'agit pas de ragots. La source est une interview enregistrée de Delouvrier, révélant que, couvert par de Gaulle ( et vraisemblablement à la demande de celui-ci ) il avait payé le FLN pendant toute la guerre d'algérie pour qu'il ne plastique le précieux gazoduc ( l'indépendance énergétique française ! ) amenant le gaz depuis Hassi-Messaoud, le gaz saharien, "notre gaz ". Imaginez que ceci ait été révélé aux Français à cette époque. Qui aurait cru que de Gaulle, le Grand Charles, grande figure nationale ait fait verser au FNL, sur des comptes à l'étranger, de l'argent avec lequel celui-ci pouvait acheter des armes qui allaient tuer des Français ?

Encore aujourd'hui l'idée est si énorme qu'elle " ne passe pas ". La presse ne s'en est pas fait l'écho. On ne la retrouvera pas dans les manuels d'histoire, alors qu'elle est fondée sur des documents méritant de figurer dans les archives nationales, celles sur lesquelles nous nous basons pour écrire notre histoire. Et ça date de trente ans.....

Imaginez les Américains d'aujourd'hui, face à ce vide béant, face à cette prise de conscience insoutenable.

Oui, l'effondrement des tours jumelles, parachevant un pseudo-attentat ( pensez au terroriste Mohammed Atta, jetant négligeamment son passeport par la fenêtre de l'avion avant de mercuter, un dixième de seconde plus tard, à cette fable ) fut une démolition contrôlée. Quelqu'un, observant la scène depuis un immeuble voisin a appuyé sur deux boutons, qui ont précipité dans la morts des milliers d'hommes et des femmes dont une partie aurait pu être sauvée par une noria d'hélicoptères en dessous desquels on aurait laissé pendre de longues cordes. Ces machines auraient pu amener au sol des dizaines ou centaines de malheureux qui auraient pu s'y aggriper.

Est-ce que vous imaginez la scène. Cet homme, ou plutôt ces hommes, regroupés par un " PC de commandement " appuyant tout tranquillement sur ces boutons.

Il s'agit du plus grand crime, sous forme d'attentat, de l'histoire des hommes

Les coupables ? Regardez à qui profite ce crime ? Aux puissances d'argent, aux industries de l'armement, aux descendants de ceux qui programmèrent l'élimination dde Kennedy, opposé à la guerre du Vietnàm.

Une lectrice m'a signalé un site américain dans lequel s'expriment diverses personnalités, demandant une réouverture de l'enquête :

http://patriotsquestion911.com

Pourrait-on envisager quelque chose de semblable dans notre pays, royaumle de la langue-de-bois ?

Je suis fatigué de parler, d'avertir, de dénoncer. Mais il semble que la vérité commence à se frayer un chemin, lentement. Cette course de vitesse sera-t-elle gagnée ? Nous fonçons vers l'Apocalypse.

Ce qui me consterne, comme je l'ai dit, c'est la réaction de mes collègues scientifriques et physiciens. Mais ce ne sont que des hommes comme les autres. On dit que les hommes ne se posent que les problèmes auxquels ils pensent pouvoir trouver des solutions. Et c'est l'argument de ces collègues qui me disent :

- Et quand bien même, qu'y pouvons-nous ?

Dans ces lignes je m'adresserai à un vieux copain de mon âge, intègre autant qu'on peut l'être, dénué de vanité, serviable, ouvert dans des domaines où d'autres restent fermés comme des huîtres, peut être parce qu'il a été jadis " témoin de faits étranges ". Ces jours derniers il me disait :

- Mais n'as-tu pas mieux à faire que de jouer les Zorro ?

Réagis, mon vieux. Le monde a besoin de nous. Pense aux jeunes, à tes enfants. Nous, nous sommes déjà vieux. Nous ne pouvons pas rester les bras croisés, muets, devant tout cela. Rejoins le camp de ceux qui luttent pour la vérité et la justice. Ca n'est pas l'heure de cultiver son jardin, mec.

 

 

 

10 septembre 1007 : Le mail d'un lecteur.

Les gens se composent des raisonnements personnels souvent ahurissants. Quand j'avais commencé à réfléchir sur ce dossier du 11 septembre un lecteur, Jean-Sylvain Delroux, m'avait bombardé de messages m'expliquant par exemple que le crash sur le Pentagone était pour lui sans mystère. J'ai fini par lui ouvrir mes colonnes et il a relevé le défi. Allez voir son analyse. Elle est toujours sur mon site. Le lecteur appréciera.

Ces jours derniers un autre lecteur, qui se présente comme " un disciple " ( ...) commença par m'expliquer comment on pouvait mettre un bas un gratte-ciel : en utilisant un simple ... vérin, disposé à mi-hauteur. Or, me faisait-il remarquer, c'est à peu près à cette hauteur que les avions ont frappé.

Je lui alors demandé :

> Et pour le Pentagone, ça s'est passé comment ?

Voici sa réponse :

Cher Monsieur,

Trois trous, normal : un pour le fuselage, deux pour les réacteurs. Les réacteurs en acier ont volé loin dans le bâtiment, les ailes en alulithium (...) sont restées sur la facade et on brûlé. J'avoue que l'herbe non brûlée est troublante, mais nous sommes à Washington, en septembre, le climat est quasi-subtropical : toute pelouse sans système d'arrosage automatique est condamnée à être transformée en "pelazza". Evidemment, on n'arrose jamais lorsque le soleil est haut dans le ciel, sinon les gouttes forment des loupes qui brulents les feuilles, et bousillent l'herbe. Donc, comme dans les golfs, il doit y avoir un système d'arrosage enterré qui se met en marche le matin, et se coupe vers 8H/9H. Donc, l'herbe était mouillée. Il est probable que la première chose que les plantons ont fait après le crash  est de remettre en marche l'arrosage (...).

Pas de boule de feu : je suppose que les pilotes, voyant que cela chauffait en cabine, on fait demi-tour pour se poser le plus tôt possible sur une base militaire (la région en est pleine)  et ont enclenché la procédure d'urgence en vidant les réservoirs. Donc l'avion était quasiment vide lorsqu'il a percuté. Et il a percuté à pleine vitesse, pas en roulant au sol freins bloqués comme récemment au Brésil.

Il y a tout de même des films ou on voit l'avion, non? Des témoins aussi.

Votre disciple,

FD

Il s'est construit sa petite vision des choses et la conservera sans doute longtemps. Simple démarche visant à assembler des arguments pour

 

 

 


 

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