Images du World Trade Center prises d'hélicoptère
9 octobre 2009 - 17 avril 2010
Powerpoint contenant des photos, vraisemblablement prises depuis un hélicoptère militaire
A l'heure où des journalistes comme Daniel Lecomte persistent à considérer les évènements du 11 septembre 2001 comme définitivement classées il est intéressant de regarder ces différents clichés, pris depuis un hélicoptère.
Le journaliste Daniel Lecomte, imperturbable
Le bâtiment numéro 7 est visible sur un grand nombre d'entre eux et est reconnaissable à la forme trapézoïdale de sa partie supérieure. Il est photographié sous tous ses angles, avant et après l'effondrement des deux tours jumelles.
Des grands pans de l'immeuble sont intacts. On distingue, au niveau d'étages inférieurs une arête endommagée par une projection de débris, et des feux très limités. Il est difficile d'admettre que ces incendies aient pu provoquer l'effondrement " droit dans ses bottes " de l'immeuble entier. D'autant plus que ce bâtiment numéro 7 est d'une construction totalement différente de cette des twin towers, beaucoup plus classique : il est de type "cantilever". On découvrira cette structure interne très dense à la fin de la vidéo correspondant au lien ci-après. Je repense au passage à la déclaration du spécialiste français du CSTB ( Centre Scientifique et Technique du Bâtiment, qui a dit lors d'une émission de télévision que "le feu s'était propagé par un souterrain" (...).
Ici une vidéo posant une série de 12 questions posées à propos des discours défendant la thèse officielle, dont un se demande si Daniel Lecomte à simplement a simplement fait l'effort d'en prendre connaissance.
http://www.dailymotion.com/video/xasydx_11-septembre-12-questions-aux-defen_news
Ca n'est qu'à la fin de ce document que la question du bâtiment numéro 7 est abordée. Aucun gratte-ciel à charpente métallique ne s'étant jamais effondré, le rapporteur du NIST s'empresse de dire " qu'il s'agit d'un phénomène très rare " (limité à ce cas unique, donc). L'argumentation du NIST est basée sur une simulation sur ordinateur et on trouvera assez cocasse que celle-ci ne parvienne pas à reconstituer la descente verticale de l'immeuble, sur lui-même. Dans la simulation les deux extrêmités supérieures se replient l'une sur l'autre.
En considérant ce refus systématique de débat contradictoire, s'agissant de journalistes ou " d'experts" il ne s'agit pas nécessairement de mauvaise foi, ou de subordination à une structure autoritaire quelconque. Comme beaucoup l'ont déjà souligné, admettre que ces destructions n'aient pas été les conséquences d'attentats menés par des terroristes d'Al Qaïda représenterait un saut qualitatif que peu de gens parviennent à faire (on se demande si Daniel Lecomte parviendra un jour à simplement envisager cette éventualité). Rappelez vous une émission à la télévision russe, où une jounaliste disait :
- La raison pour laquelle je ne peux pas mettre en doute la version officielle est qu'alors toute ma vision du monde basculerait d'un coup, et que je me retrouverais soudain dans un monde où je ne voudrais plus vivre (...).
Pour ceux qui ont franchi ce Rubicon, la prise de conscience est vertigineuse, déstabilisante. Des "opérations sous fausse bannière" il y en a toujours eu, de tous temps. On les appelait en français " des provocations ". Mais il n'y a jamais eu dans l'histoire de coup de cette envergure, de plus visant des citoyens américains.
S'il s'agit effectivement d'un " inside job ", d'un auto-attentat, il est difficile d'imaginer que cette opération d'envergure ait pu être montée uniquement par des Américains. L'intervention de services secrets d'une autre puissance est une thèse qui se profile évidemment, de plus en plus. Il ne pourrait alors s'agir que d'un état fortement implanté sur le territoire des Etats Unis, à tous les niveaux, que cela soit au niveau technique ou politique. Un état doté d'un très forte expérience en coups fourrés en tous genre, pratiquant un machiavélisme systématique.
S'il pouvait être établi que les choses se sont passées ainsi et que les responsabilités puissent être tracées, on imagine la secousse sismique au plan international et les répercutions inchiffrables que ceci pourrait avoir.
Nous vivons ... une époque complètement folle, si folle que beaucoup se refuse à regarder en face cette folie, Daniel Lecomte le premier.
DISCOURS d'OBAMA EN AFGHANISTAN, MARS 2010
A propos d'Obama, si des lecteurs conservent encore quelques illusions, après son discours devant les cadets de West Point, dont j'ai déjà fait état, lire la traduction de son intervention de mars 2010 à Bagram, Afghanistan (Bagram est aussi le " Guantanamo Afghan, rappelez vous les exaction des troupes américaines qui firent scandale ).
Obama en Afghanistan, prix Nobel de la Pais (...), félicitant les Américains et les troupes de l'OTAN
Des extraits de ce discours de notre .... prix Nobel de la Paix (Mais Kissinger fut aussi lauréat de ce prix !) :
Et ici, en Afghanistan, vous êtes passés à l’offensive. Et le peuple américain s’en rend compte. Et nous assistons à une énorme hausse du soutien partout dans le pays, parce que les gens comprennent le genre de sacrifices que vous faites et la signification de votre mission.
......
Alors ici, en Afghanistan, chacun d’entre nous fait partie d’une longue lignée de soldats qui se sont sacrifiés depuis plus de deux cents ans. Vous protégez vos concitoyens du danger.
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Al-Qaïda et ses alliés extrémistes représentent une menace pour l’Afghanistan et une menace pour le peuple américain, mais ils représentent aussi une menace partout dans le monde, et c’est pour cela que nous sommes si fiers d’avoir parmi nous nos partenaires de la coalition
.......
Nous ne pouvons oublier la raison de notre présence ici. Nous n’avons pas choisi cette guerre. Ce n’était pas un acte d’expansionnisme américain, un acte d’ingérence dans les affaires d’autrui. Nous avons été lâchement attaqués le 11 Septembre. Des milliers de nos concitoyens et concitoyennes sont morts. Et c’est ici que les auteurs du crime, al-Qaïda, ont élu leur quartier général. A l’heure où je vous parle, des complots contre notre patrie, des complots contre nos alliés, des complots contre les peuples afghans et pakistanais se préparent ici même.
......
Et c’est pour cela qu’il est si important que vous sachiez que tout le pays est derrière vous. C’est pour cela que vous portez cet uniforme, parce dans un monde instable, les États-Unis d’Amérique seront toujours là pour défendre la sécurité des nations et la dignité des êtres humains. C’est ce que nous sommes. C’est comme cela que nous agissons.
.....
Mais nous savons aussi ceci : les États-Unis d’Amérique n’abandonnent jamais un travail qu’ils ont commencé. (Applaudissements) Vous n’abandonnez pas, les forces armées des États-Unis n’abandonnent pas, nous persistons, nous persévérons, et ensemble avec nos partenaires nous gagnerons. J’en suis absolument certain. (Applaudissements)
Aurait-il oublié le Vietnam ?
Les Russes, qui ne sont pas des enfants de choeur, et qui disposaient d'une logistique puissante, ont perdu la partie en Afghanistan. Les Américains s'imaginent-ils pouvoir réussir, là où les Soviétiques avaient du repartir la queue basse ? Ce pays est simplement impossible à contrôler, ne serait-ce qu'à cause de sa géogréphie, et compter sur un appui sans faille de la part du Pakistan relève de la naïveté (ou du cynisme) le plus borné.
Il faut se rappeller aussi, mais je manque de temps pour développer cela, qu'au début du siècle les Anglais, craignant une pénétration russe en direction des Indes, en passant par l'Afghanistan, ont décidé soudain, préventivement, d'envahir le pays. Tout a démarré comme une véritable promenade de santé. Les militaires anglais ont même amené leurs épouses et leurs clubs de golf.
Le passage vers l'Inde ( c'est à dire le Pakistan ) ne peut s'effectuer que par deux passages, deux cols ( situés dans ce qu'on appelle maintenant les "zones tribales" ), tenus depuis des siècles par des tribus. Au départ les Anglais mirent la main à la poche pour s'assurer le concours de personnalités politiques locales. Pour le passage via les deux cols, il fallait également payer les chefs des tribus locales. Mais un jour un nouveau chef du corps expéditionnaire anglais estima que l'Angleterre n'avait pas à payer "à ces pouilleux" cette taxe permettant le passage. La riposte fut immédiate. Les relations s'envenimèrent, les embuscades se succédèrent. Les Anglais perdirent du monde et en fin du compte durent ... évacuer le pays.
Obama n'a pas du être très assidu à ses cours d'histoire, visiblement.